La liberté d’expression, principal acquis de la révolution tunisienne de 2011, est aujourd’hui gravement menacée par le président Kaïs Saïed.
L’expertise universitaire, l’exigence journalistique
Articles sur Kaïs Saïed
Ensemble des articles
En Tunisie, la désignation de boucs émissaires parmi les migrants détourne l'attention de l'échec continu du gouvernement à résoudre la profonde crise économique et sociale.
La Tunisie se comporte comme beaucoup d'autres pays confrontés à des défis sociaux, politiques et économiques : elle accuse les migrants pour détourner l'attention.
Le premier tour des législatives tunisiennes, en décembre, a été marquée par une abstention record, signe de la désaffection des citoyens à l’égard du régime hybride du président Saïed.
Plus qu’un changement de dirigeants ou de Constitution, le peuple tunisien semble réclamer une réinvention du « politique », au sens large de l’art de gouverner.
Les récents événements tunisiens invitent à convoquer la notion de bonapartisme – l’action du président Saïed semblant à cet égard relever du bonapartisme libéral plus que du bonapartisme autoritaire.
Alors que la Tunisie est durement frappée par le variant Delta, l’action du président Kaïs Saïed fait basculer un pays jusqu’ici politiquement paralysé dans l’inconnu.
Throughout his campaign Saïed positioned himself as the absolute embodiment of the will of the people.
Les contributeurs les plus fréquents
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Professeur de sciences politiques, Université de Tunis El Manar
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Senior research fellow, Arnold Bergstraesser Institute
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Visiting professor, College of Europe
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Maître de conférences, DRM-MOST, Université Paris Dauphine – PSL
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Associate professor d'histoire et de relations internationales, South Mediterranean University
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Professor of Arab studies, University of Oslo
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Professor, Contemporary History, Université de la Manouba
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Research Professor in political science, Norwegian Institute of International Affairs
