Les jeunes restent réticents à une utilisation de l’IA pour évaluer des aspects personnels, tels que l’expression du visage, lors d’entretiens d’embauche.
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Selon une étude de l’EDHEC NewGen Talent Center, les étudiants estiment que l’intelligence artificielle peut être source de progrès mais mentionnent la nécessité d’un encadrement des pratiques.
Selon les résultats de l’enquête, 62 % des anciens diplômés considèrent qu’une insertion professionnelle en période de crise économique leur a permis de faire preuve d’agilité et d’adaptation.
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En temps de crise, l’insertion dans le monde du travail passe davantage par les candidatures spontanées et les réponses aux offres d’emploi.
Ceux qui concilient de manière satisfaisante leur travail avec leur vie personnelle sont plus engagés dans leur entreprise.
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Selon une étude, quatre sur 10 estiment que les employeurs ne prennent pas suffisamment en compte leurs contraintes dans la sphère personnelle.
Pour les jeunes qui arrivent sur le marché du travail, réussir signifie surtout être en cohérence avec ses valeurs et son ambition.
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Recruter la nouvelle génération de diplômés constitue la meilleure décision pour les entreprises. Mais la crise ne les exonèrera pas de la question du sens et de l’impact sociétal des emplois.
Face aux conséquences économiques de la crise, les étudiants et jeunes diplômés font partie des publics en première ligne.
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Dans les moments de crise, les jeunes générations peuvent être conduites à mettre en cause les générations aînées. L’épidémie de Covid-19 peut-elle déboucher sur une telle rupture ?
L'écrivain autrichien Rainer Maria Rilke (1875-1926) invite au voyage intérieur pour identifier ce qui fait vraiment sens.
Fondation Rilke
Plus les informations d’un CV sont nombreuses, plus son traitement est complexe, et plus le recruteur doit recourir à des idées préconçues pour combler son déficit d’information.
Près de 9 jeunes sur 10 ont une perception positive du monde de l'entreprise.
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Une étude révèle que les futurs diplômés ont une vision globalement positive de l’entreprise mais sans naïveté. Ils attendent qu’elles développent leur responsabilité sociale et environnementale.
De nos jours, les différences entre les entreprises se jouent notamment sur la créativité, qui repose elle-même sur la diversité des effectifs.
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Les entreprises oscillent systématiquement entre besoin d’être rassurées sur une certaine conformité et nécessité de trouver des personnalités originales qui dynamiseront son activité.
Les jeunes qui s'apprêtent à entrer sur le marché du travail sont loin d'être une armée de clones…
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L’étude des caractéristiques prêtées aux générations Y ou Z laisse penser que les différences avec leurs aînés, largement exagérées, servent avant tout des intérêts bien précis…
Le vendredi 15 mars 2019 à Paris.
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Si l’on oppose souvent une « jeunesse » idéaliste aux « adultes » inconséquents sur la question climatique, il faut rappeler que LA jeunesse, en tant que groupe social homogène, est une illusion.
Yazid Chir, choqué par la résignation et la honte des diplômés des quartiers difficiles devant qui les portes se ferment, lance avec succès un parrainage des diplômés par des cadres.
Il existe trois archétypes de professionnalisation très différents : « intégrée » en école de commerce, « scindée » en école d'ingénieurs, et « latente » à l'université.
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Une étude relève la grande hétérogénéité des approches en termes de préparation des étudiants à leur future carrière en fonction du cursus qu’ils choisissent.
Quelque 4 000 étudiants de grandes écoles et d’universités rejoignent chaque année les cabinets de conseil en management.
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Face à la guerre des talents, les cabinets de conseil doivent innover dans leurs pratiques de recrutement. Notamment en se rapprochant davantage des universités et des grandes écoles.