Dans cet épisode, nous vous racontons comment un mot, grossophobie, a réussi à faire sortir de l’ombre le sujet des discriminations à l’encontre des personnes en surpoids et obèses.
S’il ne faut pas stigmatiser les personnes en surpoids, il ne faut pas non plus négliger les risques de l’obésité pour la santé.
S’il convient de lutter contre la stigmatisation des personnes obèses, il ne faudrait pas pour autant nier les risques auxquels expose l’obésité. Comment réconcilier les deux approches ?
Il ne s’agit pas seulement de dormir suffisamment, mais aussi de se coucher tôt.
Shutterstock
La petite enfance est une période critique, durant laquelle se construisent les bases des habitudes de toute une vie. Éduquer les enfants à bien dormir servira leur santé et leur bien-être futurs.
Au lendemain des fêtes et des confinements vient la tentation d’un régime amaigrissant. Or s’agissant de l’effet à long terme comme des bienfaits santé, on ne peut que vanter le régime méditerranéen.
Photo du village de Hienghene en Nouvelle-Calédonie, prise le 30 avril 2016. Comprendre comment vivent les adolescents, en particulier dans les zones rurales, est indispensable pour lutter contre l’obésité et le surpoids.
Théo Rouby / POOL / AFP
Les pays les plus touchés au monde par l’obésité se situent dans le Pacifique. Comprendre pourquoi nécessite de s’intéresser à la diversité des territoires et des cultures des populations.
Si certaines personnes ont vu leurs pratiques alimentaires se dégrader pendant le confinement, faute de temps ou de moyens, d’autres les ont améliorées.
Shutterstock
Pendant deux mois, le confinement a modifié les habitudes des Français. Limitation des sorties, de l’activité physique, modification des pratiques alimentaires… Avec quel impact sur leur corpulence ?
Anthony Bourdain et Barack Obama dans une cantine à Hanoi au Vietnam (23 mai 2016).
Pete Souza/Wikimedia
Parcourue d’injonctions contradictoires, façonnée localement, sans cesse réinventée : l’alimentation dans les villes du Sud global échappe au récit d’une uniformisation occidentale.
L’application de campagnes basées sur le marketing social a permis de réduire le surpoids de façon significative dans plusieurs villes françaises.
Shutterstock
La lutte contre l’obésité est d’autant plus efficace qu’elle est précoce. Pour sensibiliser les individus et les inciter à adopter une alimentation saine, le marketing social a fait ses preuves.
Le régime keto consiste à supprimer les sucres.
Shutterstock
Si la durabilité des systèmes alimentaires est menacée aujourd’hui par un excès de calories d’origine animale, elle l’est également, et c’est bien moins connu, par les calories ultratransformées.
Les enfants et jeunes affectés de maladies chroniques ne se résument pas à leur pathologie, ce sont aussi des élèves et des camarades de classe !
Shutterstock
Alors que rouvrent les écoles, l’accueil des enfants atteints de maladies chroniques, ou souffrant de problèmes de santé mentale, a encore été peu abordé. Quelques points de repère.
Faire de l’exercice, comme ici le long du canal de Leeds à Liverpool, est d’autant plus important en cette période de pandémie de Covid-19.
Lindsey Parnaby / AFP
La majorité des patients admis en réanimation suite à une infection par le SARS-CoV-2 présentent un surpoids important. Pourquoi les personnes obèses sont-elles plus menacées par ce coronavirus ?
Une alimentation diversifiée et riche en fruits, légumes et autres sources naturelles de fibres est nécessaire au microbiote intestinal. Et cela contribue à préserver notre santé.
Si le sommeil est répandu dans tout le monde animal, c’est bien qu’il joue un rôle primordial. De fait, la privation de sommeil va de pair avec des troubles métaboliques et neuropsychiques.
Pourquoi manger un burger nous procure-t-il autant de plaisir ?
Bogdan Sonjachnyj / Shutterstock
Pour la première fois, cette étude montre que les lipides retrouvés dans la circulation après la digestion d’un repas peuvent agir directement sur les neurones du « système de la récompense ».
Mieux définir le métabolisme de base sain que nous partageons tous dans notre jeunesse permettrait de le préserver le plus tard possible.
Shutterstock
Préserver le plus longtemps possible le « métabolisme de base sain » qui s’observe chez les populations jeunes pourrait être la clef pour vivre vieux et en bonne santé.
Le cerveau de l'adolescent a un désir vorace de récompense, moins de contrôle et il est susceptible d'être façonné par l'expérience. Cela se manifeste souvent par une capacité réduite à résister aux aliments vides à haute teneur en calories.
Shutterstock
La consommation excessive de malbouffe pendant l’adolescence peut altérer le développement du cerveau, ce qui entraîne de mauvaises habitudes alimentaires durables.
Les adultes canadiens consomment en moyenne plus du triple de la limite quotidienne de 25 g de sucre ajouté recommandée par l’Organisation mondiale de la santé.
Shutterstock
Nous ne sommes pas égaux devant le surpoids : notre tendance à grossir dépend de nos gènes. L’identification de ceux impliqués dans l’obésité fait espérer la mise au point de nouveaux traitements.
Directrice de recherche honoraire. Coordinatrice du Réseau National Alimentation Cancer Recherche (réseau NACRe) de janvier 2000 à septembre 2020, Inrae