Cet été, 86 % des Français ont décidé de séjourner en France et auront l’occasion de (re)découvrir les terroirs notamment viticoles.
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Participation aux vendanges, dégustation de vins avec un œnologue… le tourisme autour du vin peut surfer sur la vague des vacances locales en permettant à chacun de vivre des expériences mémorables.
Les vacances sont aussi l’occasion de vivre des expériences touristiques en phase avec ses valeurs et aspirations.
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Le secteur du vin a bien saisi l’importance de prendre le virage de la transition écologique et mise désormais sur le développement d’expériences touristiques durables et responsables.
Pas besoin de partir bien loin pour s’émerveiller. La France regorge de régions viticoles à explorer.
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Troisième destination œnotouristique en France, la région de l’est capitalise sur 10 siècles de traditions et dispose de nouveaux de leviers de développement à activer.
Les incitations financières ne constituent pas un outil efficace pour modifier durablement des comportements.
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Une étude relève une hausse sensible du nombre de personnes buvant seules pendant le confinement, notamment chez les hommes à revenus modestes et sans-emploi.
Le vignoble côtes d’Auvergne est le seul en France à être situé sur un sol volcanique.
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La vigne poussant sur un volcan éteint une ressource valable, rare, inimitable et non substituable. Pour les producteurs, il s’agit là d’un véritable avantage concurrentiel.
La demande de vins fins est très sensible à l'évolution du revenu des investisseurs à la hausse comme à la baisse.
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Ces couleurs que l’on retrouve sur les étiquettes restent difficiles à reproduire numériquement. Elles représentent pourtant une clé pour le consommateur dans le choix des bouteilles.
Le scientifique Christophe Lavelle vous propose un éclairage en trois parties sur la place essentielle des microbes dans le patrimoine alimentaire de l’humanité.
Les levures et les bactéries peuvent générer des métabolites (acides, gaz, alcool) qui vont changer les propriétés des produits sur lesquels elles se sont installées.
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L'art subtil de la transformation des aliments
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En favorisant de manière sélective la prolifération de certains micro-organismes (bactéries et levures) au détriment d’autres, L’Homme produit des nourritures fermentées plutôt que pourries.
On estime que la fermentation de la bière est apparue aux alentours de 4 000 ans avant Jésus-Christ.
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La domestication des microbes, au cœur de notre patrimoine alimentaire
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Depuis des milliers d’années, l’homme s’appuie sur un monde invisible pour produire des aliments comme la bière, le vin, le fromage ou encore le chocolat.
Le terroir désigne bien plus qu'une zone géographique.
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Le succès des vins dépend étroitement d’appellations d’origine aux contours encore flous, comme en témoigne le récent tollé autour de l’exclusion de 64 communes bourguignonnes de la zone certifiée.
Le Dry January est une occasion de réfléchir à sa consommation d’alcool.
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Dérive hygiéniste pour les uns, opportunité de s’interroger sur son rapport à l’alcool pour les autres, que penser du « Dry January », plébiscité par les addictologues mais désavoué par les autorités ?
Le domaine de Meursault, en Cote-d'Or, mise ouvertement sur le développement de l'œnotourimse.
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Soit les acteurs se structurent pour attirer davantage de visiteurs, soit ils continuent de miser sur un public restreint à la recherche de prestations haut de gamme.
Chez Pernod Ricard, les marges brutes avoisinent les 30%.
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Le fleuron français des vins et spiritueux a annoncé qu’il allait supprimer 10 % de ses effectifs malgré de bons résultats financiers. L’occasion de décrypter un marché pas comme les autres.
Les volumes récoltés en France devrait reculer de 12% cette année par rapport à 2018.
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Au-delà des mauvaises récoltes annoncées pour 2019, la filière est en proie à des problèmes structurels dont la résolution nécessite de rompre avec de vieilles habitudes.