L'étendue du talent, le nombre record de téléspectateurs et l'équité de l'arbitrage en ont fait un tournoi qui prouve que le football africain commence à prospérer.
De nombreux joueurs des sélections africaines sont nés et ont grandi en Europe. Leur choix d’évoluer pour une nation africaine est-il un signe positif pour le football africain ?
L'augmentation des récompenses, plusieurs nouveaux contrats de diffusion et les plus grands noms du football africain définiront l'édition 2024 de la CAN.
Des entreprises publiques chinoises financent de plus en plus d’enceintes sportives à travers le continent. La Côte d’Ivoire, pays-hôte de l’édition 2024 de la CAN, ne fait pas exception.
Le Maroc est devenue la première nation africaine à accéder en demi-finale de la coupe du monde de football. Sa diplomatie sportive peut en tirer profit.
Une victoire est possible, mais seulement en 2026 ou 2030 et seulement si les équipes africaines peuvent jouer plus régulièrement des matches internationaux de haut niveau.
Hervé Kouamouo, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Les dirigeants du football africain ont accepté de soutenir la FIFA dans son projet de Coupe du Monde tous les deux ans. Réelle opportunité ou danger pour le football du continent ?
Les éliminations spectaculaires des équipes ayant triomphé quatre ans plus tôt sont riches d’enseignements sur ce qu’il faut faire et ne pas faire lorsque l’on est une entreprise leader sur un marché.
Les Bleus pourraient être l’idéal de l’intégration à la française : or la fabrique ethnique de l’équipe nationale a été minutieusement décortiquée et jaugée à l’aune d’un racisme à peine dissimulé.
Même si le football féminin s'achemine vers la maturité, l’omni-référence à la pratique masculine renforce finalement une image du football comme « sport de tradition masculine.