Les études soulignent le rôle prépondérant des émotions dans la capacité des individus à « se mettre en mouvement », au travail comme dans le sport de haut niveau.
À l’ère de la mondialisation, les sanctions économiques décidées contre la Russie par les États-Unis, l’Union européenne et ses alliés sont un test pour le projet de paix par le commerce.
En bouleversant notre rapport au temps et aux autres, la pandémie donne l’occasion d’imaginer ce que serait une situation soutenable socialement et écologiquement.
La prise de conscience récente de la nécessité de préserver ses partenaires économiques aura notamment eu raison des résistances nationales à engager un emprunt commun européen.
Particulièrement dépendants de leurs fournisseurs et sous-traitants, les grands groupes ont tout intérêt à soutenir la santé économique de leur écosystème.
The Conversation France publie des extraits du livre « Manager avec l’intuition » qui dresse un état des lieux des bénéfices et des bonnes pratiques en la matière.
La crise sanitaire pourrait constituer une occasion d’expérimenter de nouvelles pistes pour maintenir l’attachement des consommateurs envers les marques, comme le recours à l’art.
Contrairement aux compétences individuelles, les compétences collectives se développent peu dans les organisations. Ces dernières sont pourtant clés pour pacifier les relations entre organisations.
L’engagement des grandes entreprises américaines de réorienter leur activité en faveur de l’ensemble de leurs parties prenantes reprend des préconisations formulées par la théorie dès les années 1970.
À l’heure où les systèmes de coopération interétatiques s’enfoncent dans la crise, de nouvelles formes de coopération voient le jour pour répondre aux grands défis actuels.
Les échanges du colloque « Travailler demain » ont offert un éclairage précieux sur les bonnes pratiques managériales à mettre en place pour accompagner au mieux les évolutions actuelles.
En se focalisant davantage sur la capacité à évoluer des salariés, les entreprises créeraient aussi bien des conditions de performance que de paix économique.
Notre rapport culturel à l’échec est source de dégâts sur les individus et les organisations. Or, l’échec, inéluctable, aide aussi à trouver des opportunités.
La promotion du bonheur n’a jamais été aussi intense. Tou(te)s semblent s’être converti·e·s à ce nouvel eldorado social. Alors « don’t worry, be happy »… mais à quel prix ?
La dernière vague d’indicateurs de l’ONG Positive Planet indique des voies de progrès pour les États et les entreprises vers une économie plus positive.
Les politiques d’attractivité d’une ville ou d’un territoire se fondent essentiellement sur des critères de performances économiques qui éclipsent les facteurs humains et environnementaux.
A-t-on des exemples de compétitions dans lesquelles les rapports sont pacifiés ? On pourrait penser au sport. Mais les performances des comédiens improvisateurs sont une bien meilleure illustration.
La méditation de pleine conscience commence à pousser la porte de l’entreprise.Comment s’initier à cette nouvelle pratique ? Comment la pratiquer correctement ? Et surtout, qu’en attendre ?
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)
Associate professor en économie - Grenoble Ecole de Management, F-38000 Grenoble, France - coordinatrice recherche Chaire Unesco pour une culture de paix économique - co-titulaire Chaire Territoires en Transition, Grenoble École de Management (GEM)
Professeur de Gestion des Ressources Humaines, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-être au travail et Paix Economique à Grenoble Ecole de Management, Grenoble École de Management (GEM)
Professeure Assistante au département Homme, Organisations et Société. Chaire Territoires en Transitions et Chaire UNESCO pour une Culture de Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)