Fasciné par les écrans, notre esprit est au cœur d’un enjeu dont dépend notre avenir. Avec cet extrait du dernier essai de G. Bronner, explorons l’un des modes de fonctionnellement de l’attention.
Roberto Morandotti, Institut national de la recherche scientifique (INRS)
De nouveaux dispositifs intelligents exploitent les propriétés de la lumière pour atteindre des performances extrêmement élevées, avec une empreinte environnementale réduite.
Comment évalue-t-on le niveau de conscience de patients plongés dans le coma ? Par leurs réactions oculaires, verbales, motrices, réflexes, mais aussi par la mesure de l’activité de leur cerveau.
Près de 8 % des malades hospitalisés pour Covid-19 sont victimes d’atteintes neurologiques. En quoi consistent ces problèmes parfois graves ? Quelles en sont les causes ?
Nancy Brassard, École nationale d'administration publique (ENAP)
Lorsqu’on gère un événement difficile, comme l’actuelle crise sanitaire, le courant électrique qui régit notre cerveau s’en trouve modifié. Des techniques permettent de mieux réguler notre humeur.
Les réseaux de neurones qui sous-tendent l’intelligence artificielle s’inspirent du fonctionnement de notre cerveau. Deux approches compatibles et complémentaires font évoluer l’IA.
Vous avez sans doute vu cette vidéo où une ancienne ballerine atteinte de la maladie d’Alzheimer semble s’éveiller et danse à l’écoute du Lac des cygnes. Que s’est-il vraiment passé ?
Les implants cérébraux sont porteurs d'espoirs s'agissant de remédier à certaines pathologies. Mais il est crucial d'interroger leurs implications sur nos représentations de la nature humaine.
Raphaël Hanon, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Les scientifiques ont longtemps pensé que la chasse était à l’origine du développement de notre cerveau. En réalité, les causes semblent être beaucoup plus variées.
Restreignant les déplacements et la participation à des activités sportives, le confinement modifie le quotidien des enfants. Cela risque-t-il d’impacter leur développement de leur motricité ?
Les origines de certaines formes de dépression et de troubles anxieux se situent dans notre cortex préfrontal. Cibler la suractivité de cette région pourrait permettre de mieux les traiter.
Manger, dormir, avoir des rapports sexuels… Toutes ces activités génèrent du plaisir, ce qui nous pousse à les répéter, au risque de tomber dans le piège de l’addiction.
S’il est vrai que la plupart d’entre nous utilisent la main droite pour écrire, nous ne savons pas encore très bien pourquoi. Mais nous avons des idées.
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)
Psychiatre du sujet âgé, chercheur associé au Laboratoire interdisciplinaire d'étude du politique Hannah Arendt (Université Paris-Est Créteil), co-directeur du département de recherche Éthique biomédicale du Collège des Bernardins, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Professeur de Neurochirurgie, neurochirurgien, chercheur (CHU d'Angers, Inserm U1232-CRCINA) et auteur (Voyage du cerveau gauche au cerveau droit. EDP Sciences 2021- Imaginer le monde de demain dir Xavier Pavie, Maxima 2021), Université d'Angers
Directeur de l'unité Neuropsychologie et imagerie de la mémoire humaine, Inserm, Ecole Pratique des Hautes Etudes, Université de Caen Normandie, Université de Caen Normandie