De « Tobie Lolness » à « La Cité des livres qui rêvent », en passant par « Sauveur et fils » ou l’incontournable « Harry Potter », revue de quelques titres conjuguant suspense et qualité littéraire.
Les programmes éducatifs surchargés n’offrent pas une éducation lente qui stimule la curiosité, le questionnement et la recherche guidée par l’enseignant. C’est ainsi qu’un programme d’études motivant pourrait être conçu.
Pour transformer les habitudes alimentaires des jeunes, l’éducation nutritionnelle ne suffit pas. Zoom sur le programme « Arts de faire culinaires au collège » qui mise sur des ateliers pratiques.
Les options choisies en terminale pouvaient jusqu’ici rapporter des points au bac. Un avantage sur lequel la prochaine réforme du lycéen tourne la page. Sauf dans le cas du latin et du grec.
Entre le travail réel des enseignants et sa reconnaissance par leur hiérarchie, il existe un fort décalage, source de malaises qu’ont remis en lumière les mouvements #Pasdevague et « stylos rouges ».
De la Charte de la laïcité aux manuels d’histoire, comment la mémoire de la loi de 1905 sur la séparation des églises et de l’État se transmet-elle à l’école ?
Les programmes de 2018 ont réduit la place de la littérature de jeunesse dans les cours de français. Une évolution regrettable vu la richesse de ces œuvres qui peuvent donner le goût de lire.
Le harcèlement scolaire est longtemps resté englobé dans les débats sur la violence scolaire. Ce n’est qu’au début des années 2010 que les pouvoirs publics ont pris conscience de la nécessité d’agir.
Demander à un élève de « faire des lignes », « ce n’est pas rétrograde », a assuré fin octobre Jean‑Michel Blanquer. Reste qu’il s’agit d’une punition proscrite dans le Code de l’Éducation.
Faire toujours mieux avec moins de moyens : avec ses objectifs chiffrés, le nouveau management public est l’une des toiles de fond du malaise enseignant. Analyse à l’heure de la réforme de l’État.
Le ministère vient de préciser les contours de sa réforme pour la formation des enseignants. Mais celle-ci s’attaquera-t-elle vraiment au problème majeur des inégalités territoriales ?
Sylvain Connac, Université Paul Valéry – Montpellier III
« Seul, on va vite, ensemble, on va loin », dit un proverbe africain. Voilà qui peut tout à fait s’appliquer aux apprentissages scolaires. À condition de prendre quelques précautions d’organisation.
On voit souvent la musique comme un atout pour le développement des enfants. Des dispositifs comme le Plan chorale entérinent cette idée. Mais ses effets sur les progrès scolaires sont-ils si nets ?
Aux États-Unis, la question du bonheur s’invite avec succès dans les amphis. L'université de Cergy-Pontoise, elle, crée un laboratoire sur le bien-être dans les organisations, dont l'école.