« Le Roi » est devenu la première icône planétaire grâce à l’essor mondial de la télévision durant sa brillante carrière. Il reste probablement à ce jour le sportif le plus célèbre de tous les temps.
Les entraîneurs font de plus en plus appel aux sciences et aux données pour optimiser les performances de leurs équipes. Mais les modèles restent imparfaits… heureusement pour le spectacle !
Certains matchs de foot voient des revendications publiques et fortes de binationalité qui montrent un attachement à la fois assumé et transgressif à la francité.
Le soutien de supporters du Moyen-Orient ou d’Asie du Sud-Est à des équipes comme le Brésil ou l’Allemagne traduit des bouleversements profonds dans le rapport aux équipes nationales de football.
Beaucoup d’actions de la politique de la ville misent sur le sport comme facteur de cohésion sociale. Mais ce recours n’est-il pas aussi révélateur d’une société où la compétition est au centre ?
Les bénéfices de l'activité physique sont connus… Pourtant, la pratique sportive reste insuffisante chez beaucoup. Les sciences de la décision peuvent expliquer ce constat et apporter des solutions.
Plus qu’un show porté par le « foot-business » et les médias, le football a investi toutes les sphères de la société, y compris les cercles intellectuels et académiques.
En quelques décennies, le « foot » s’est radicalement transformé, devenant un lucratif « sport-business ». On pense souvent que cette métamorphose a radicalement changé le jeu et les joueurs. À tort ?
L’organisation de la Coupe du monde au Qatar mise notamment ces technologies immersives devant lesquelles le spectateur reste encore relativement réticent.
Les rôles d’étudiant et de sportif de haut niveau peuvent créer des conflits personnels mais aussi s’enrichir mutuellement à condition de bien gérer ses engagements.
Une Coupe du Monde en hiver implique une accumulation de matchs sans période de repos, clubs et sélections doivent s’entendre pour limiter au maximum le risque de blessures des joueurs.
Les études soulignent le rôle prépondérant des émotions dans la capacité des individus à « se mettre en mouvement », au travail comme dans le sport de haut niveau.
La marque Babolat a partagé une innovation à des concurrents autour d’un projet d’usine en Ardèche qui devrait permettre de relocaliser près de 50 emplois en France.
À l’approche de la Coupe du Monde 2022 dans un pays aussi controversé que le Qatar, des questions se posent quant aux enjeux sécuritaires et à la coopération internationale.
Une nouvelle étude confirme que marcher environ huit kilomètres (ou 10 000 pas) par jour permet de prévenir de manière optimale le cancer, la démence et les maladies cardiovasculaires.
Le pays hôte du Mondial de football, qui débute le 20 novembre, a changé de stratégie face aux critiques et met tout en œuvre pour qu’aucun incident ne vienne émailler l’événement.
Docteur en Études slaves contemporaines : spécialiste de la géopolitique de la Russie et du sport, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Professeur des Universités en Physiologie de l'Exercice / Neurosciences Intégratives, Directeur Unité Recherche EuroMov Digital Health in Motion, Université de Montpellier