Améliorer la santé humaine
L'Inserm est le seul organisme public de recherche français entièrement dédié à la santé humaine. Sous la double tutelle du ministère de la Santé et du ministère de la Recherche, l’Inserm dispose d’un budget de 998 millions d’euros et réunit 15 000 chercheurs, ingénieurs et techniciens, avec un objectif commun : améliorer la santé de tous par le progrès des connaissances sur le vivant et sur les maladies, l’innovation dans les traitements, la recherche en santé publique.
Offrir une capacité de recherche de premier plan
L’Inserm compte plus de 350 structures de recherche, réparties sur l’ensemble du territoire français et à l'étranger. Elles sont accompagnées par 13 délégations régionales pour une gestion de proximité. L'animation scientifique des grands champs de recherche biomédicale et en santé est assurée par les 9 instituts thématiques de l'Inserm.
Produire de l’excellence
L’Inserm est au 1er rang européen des institutions académiques de recherche dans le domaine biomédical, avec près de 12 000 publications par an, et au 2e rang mondial derrière les National Institutes of Health (NIH) intra-muros.
Une connaissance du trouble longtemps focalisée sur les enfants et un a priori négatif sur les médicaments expliquent en partie le sous-diagnostic du TDAH de l’adulte. Il est grand temps d’y remédier.
Sida, Ebola, SARS, MERS, Zika, Covid-19… Les nouvelles maladies se sont multipliées durant les dernières décennies. Comment naissent les épidémies et que faire pour mieux les anticiper ?
La paralysie cérébrale concerne 2 naissances sur 1 000 en France. Aux douleurs qu’elle induit, s’ajoutent celles dues aux soins prodigués. Il importe de mieux les évaluer, pour pouvoir les éviter.
Alors que l’Afrique faisait l’objet de toutes les inquiétudes, l’épidémie de Covid-19 ne semble pas y flamber pour l’instant. Comment expliquer cette situation, qui a déjoué les attentes des experts ?
Dreams that are more vivid, more frequent and more striking… Lockdown seems to trouble our nights as well as our days, and there’s reason to believe that’s not just a figment of our imagination.
Entretien autour de l’évolution de l’épidémie et du déconfinement. Éric D’Ortenzio, de l’Inserm, fait le point sur l’état des connaissances et explique pourquoi les semaines à venir seront décisives.
Au-delà de la fragilité immunitaire qui caractérise certains patients atteints de troubles psychiatriques, l'épidémie et les mesures de distanciation ont des effets délétères sur la santé mentale.
Les conséquences de l’épidémie de Covid-19 sont loin d’être toutes connues. Comme d’autres secteurs, la recherche clinique pédiatrique a subi un rude choc, mais elle pourrait en sortir renforcée.
Plus de quatre mois après le début de l’épidémie de Covid-19, et alors que le déconfinement va renvoyer dans les classes les élèves français, que sait-on des effets du coronavirus sur leur santé ?
Sueños más intensos, más vívidos, y que se recuerdan mejor… El confinamiento parece haber perturbado también nuestros mundos oníricos. Y no es sólo una impresión.
La majorité des patients admis en réanimation suite à une infection par le SARS-CoV-2 présentent un surpoids important. Pourquoi les personnes obèses sont-elles plus menacées par ce coronavirus ?
Des rêves plus vifs, plus nombreux, dont on se souvient mieux… Le confinement semble aussi avoir perturbé nos mondes oniriques. Et ce n’est pas qu’une impression.
Les épisodes de quarantaine liés aux épidémies induisent un stress important chez certaines personnes. En perturbant la régulation de leurs émotions, il les expose à des troubles de l’alimentation.
Avant d’en arriver à un éventuel déconfinement, il faudra encore répondre à de nombreuses questions. Une chose est sure, seul un vaccin permettra de tenir en respect le SARS-CoV-2. Où en est-on ?
Une course contre la montre s’est engagée pour trouver des solutions afin d’endiguer la pandémie de Covid-19. Mais ce n’est pas une raison pour abandonner la rigueur scientifique des essais cliniques.
Bannir les mots antidépresseurs, neuroleptiques, etc. Parler des neurotransmetteurs et des moyens utilisés pour les cibler. La nomenclature NBN espère améliorer ainsi la prescription en psychiatrie.
Face à l’usage de drogues en milieu urbain, comment concilier une approche à la fois sanitaire et de tranquillité publique ? À l’étranger, quelques exemples peuvent éclairer le débat.
Augmentant les risques de cancer et de maladies cardiovasculaires, la consommation de charcuterie fait aussi s’élever le risque de maladies respiratoires chroniques.
Chercheur en Bioinformatique à l’Inserm, Unité Inserm 1090 TAGC, Théories et Approches de la Complexité Génomique, Aix-Marseille Université, Marseille., Inserm
Research Associate Professor of Epidemiology at CRESS - EREN (Inrae, Inserm, Université Sorbonne Paris Nord, Université Paris Cité), and head of the NACRe network (Réseau NACRe), Inserm
Doctorante en épidémiologie à Santé publique France et à l’Inserm, associée au Réseau doctoral en santé publique coordonné par l’École des hautes études en santé publique (EHESP), Inserm
PU-PH, chef du service de biochimie métabolique à l'hôpital Necker-enfants malades, professeur à l'Université Paris Cité, directeur de l’UMR-S 1124 « Toxicité Environnementale, Cibles Thérapeutiques, Signalisation Cellulaire et Biomarqueurs (T3S) », Inserm