Améliorer la santé humaine
L'Inserm est le seul organisme public de recherche français entièrement dédié à la santé humaine. Sous la double tutelle du ministère de la Santé et du ministère de la Recherche, l’Inserm dispose d’un budget de 998 millions d’euros et réunit 15 000 chercheurs, ingénieurs et techniciens, avec un objectif commun : améliorer la santé de tous par le progrès des connaissances sur le vivant et sur les maladies, l’innovation dans les traitements, la recherche en santé publique.
Offrir une capacité de recherche de premier plan
L’Inserm compte plus de 350 structures de recherche, réparties sur l’ensemble du territoire français et à l'étranger. Elles sont accompagnées par 13 délégations régionales pour une gestion de proximité. L'animation scientifique des grands champs de recherche biomédicale et en santé est assurée par les 9 instituts thématiques de l'Inserm.
Produire de l’excellence
L’Inserm est au 1er rang européen des institutions académiques de recherche dans le domaine biomédical, avec près de 12 000 publications par an, et au 2e rang mondial derrière les National Institutes of Health (NIH) intra-muros.
La mortalité due au coronavirus SARS-Cov-2 augmente-t-elle ? Pourquoi l’OMS ne parle-t-elle pas de pandémie ? Que sait-on de l’efficacité de la chloroquine ? Les réponses d’Éric D’Ortenzio.
Nous vous proposons un extrait de l’ouvrage « Penser droit » de Paolo Bartolomeo, mettant en avant les dernières découvertes dans le domaine des neurosciences.
Un nouveau coronavirus responsable de pneumonies graves sévit en Chine. Alors qu’il a déjà 107 décès à son actif et semble se propager à l’étranger, Éric D’Ortenzio fait le point sur ce cousin du SRAS.
Le soja colonise les assiettes occidentales, et de nouvelles formes de consommation émergent. Cet aliment riche en molécules mimant les hormones estrogènes est-il bon ou mauvais pour la santé ?
En identifiant les maladies rares responsables de troubles psychiatriques, on peut espérer améliorer leur diagnostic et mieux adapter les traitements. Explications.
La consommation de divers types de drogues a nettement augmenté en Tunisie depuis 2011, posant la question de la politique publique en la matière et de la perception qu’a la société de ce sujet.
Les bienfaits de l'activité physique pour la santé ne sont plus à prouver. Et ce, quel que soit l'âge des patients, contrairement à ce que l'on pensait jusqu'ici.
Le laboratoire Pfizer a mis au point un vaccin contre le coronavirus SARS-CoV-2 qui a été le premier a être administré dans plusieurs pays dont la France. Retour sur son principe de fonctionnement.
Encourager la pratique des activités physiques et la lutte contre la sédentarité chez les enfants en situation de handicap moteur est un enjeu majeur pour améliorer leur santé et leur bien-être.
L’ulcère de Buruli fait est sur la liste des maladies tropicales négligées de l’Organisation Mondiale de la Santé. Si l’on ignore encore son mode de transmission, on sait que l’eau joue un rôle.
Due à des lésions survenues avant, pendant ou après la naissance, la paralysie cérébrale se traduit par un large spectre de troubles. Retour sur une affection dont on parle trop peu.
Pourra-t-on un jour réparer cerveau et système nerveux abîmés grâce aux cellules souches ? Cette approche est certes compliquée à mettre en œuvre, mais elle n’en demeure pas moins envisageable.
Aujourd’hui, aucune thérapie n’est en mesure d’éradiquer totalement l’hépatite B. Des chercheurs tentent de mieux comprendre le fonctionnement du virus pour mieux le cibler.
Contrôler la santé de la rétine est essentiel à la détection de pathologies oculaires en cours de développement. L’intelligence artificielle aidera désormais à les anticiper.
Embryons et fœtus ne sont pas des personnes pour le droit français, c’est la naissance qui détermine la possession de ce statut. Pourquoi en est-il ainsi ?
Lors d’une opération chirurgicale pour éliminer une tumeur cérébrale, certaines zones du cerveau sont altérées mais la plasticité de cet organe permet la récupération des fonctions impactées.
Les neuroscientifiques savent bien qu’un usage excessif des écrans nuit à la mémoire immédiate. Il représente, de plus, un danger pour la « mémoire du futur » qui nous sert à nous projeter, à créer.
Chercheur en Bioinformatique à l’Inserm, Unité Inserm 1090 TAGC, Théories et Approches de la Complexité Génomique, Aix-Marseille Université, Marseille., Inserm
Research Associate Professor of Epidemiology at CRESS - EREN (Inrae, Inserm, Université Sorbonne Paris Nord, Université Paris Cité), and head of the NACRe network (Réseau NACRe), Inserm
Doctorante en épidémiologie à Santé publique France et à l’Inserm, associée au Réseau doctoral en santé publique coordonné par l’École des hautes études en santé publique (EHESP), Inserm
PU-PH, chef du service de biochimie métabolique à l'hôpital Necker-enfants malades, professeur à l'Université Paris Cité, directeur de l’UMR-S 1124 « Toxicité Environnementale, Cibles Thérapeutiques, Signalisation Cellulaire et Biomarqueurs (T3S) », Inserm