Créée en 1872, Sciences Po est une université qui se place parmi les meilleures en sciences humaines et sociales tant sur le plan national qu’international.
À ses 13 000 étudiants, dont 46% sont internationaux, Sciences Po offre des formations prodiguées par des chercheurs reconnus et par des enseignants issus de tous les univers professionnels.
Cette combinaison de l’analyse et de l’action caractérise Sciences Po qui, cultivant son lien étroit avec la société, est un acteur et un espace majeurs du débat public.
Attaché à développer l’esprit critique, la curiosité et la rigueur de ses étudiants, Sciences Po a l’ambition de former des professionnels capables de saisir la complexité des sociétés et des politiques pour les rendre meilleures.
Founded in 1872, Sciences Po is ranked among the top universities in the social sciences, both nationally and internationally.
Sciences Po’s 13,000 students, 46 percent of whom come from outside France, benefit from a faculty of leading academics and practitioners from a vast array of fields.
This combination of analysis and action is central to Sciences Po, a university that cultivates a close relationship with society and plays a major role in public debate.
Committed to developing students’ critical thinking, curiosity and rigour, Sciences Po aims to educate professionals with a keen understanding of complex social and policy issues and the will to address them.
Au-delà des convergences entre Alain Juppé et François Fillon, le débat du 24 novembre a révélé deux projets politiques différents au sein d’un même « paradigme » libéral.
François Fillon à Chassieux, le 22 novembre 2016.
Jean-Philippe Ksiazek/AFP
L’élection présidentielle de 2017 va se dérouler sur la base de mouvements tectoniques des valeurs qui conduisent vers un peu plus de libéralisme économique et surtout moins de libéralisme culturel.
A protestor holds a sign during a rally against president-elect Donald Trump.
Kevork Djansezian/Reuters
Donald Trump’s election represents a new political order that is the culmination of existing developments worldwide. We need to come to grips with this new era.
Les finalistes de la primaire de la droite et du centre.
Christophe Archambault/AFP
Après l’avoir adoubé dans les sondages, sa candidature garantissant l’éjection de François Hollande de l’Élysée, une partie importante de l’électorat de droite lui a retiré le tapis sous les pieds.
During his campaign, Trump has adopted a virulent nationalist tone.
Carlo Allegri/Reuters
Nous entrons dans une nouvelle ère dont nous ne connaissons ni les fins ni la fin. Elle n’est pas maîtrisable, même par les créatures qu’elle fait naître.
La tour Trump et ce qu'elle représente, à l'assaut du monde ?
Quinn Kampschroer/Pixabay
Le manque de participation des électeurs issus des minorités et l’ignorance des souffrances d’une partie de l’Amérique blanche auront contribué à l’élection de Donald Trump.
Au lendemain de l'élection de Trump, plusieurs milliers de personnes ont protesté dans la rue. Comme ici à New York.
Kena Betancur/AFP
Les questions posées par la mondialisation dominent les agendas politiques, les organisent et surtout les dramatisent. La dernière élection présidentielle américaine en est la preuve.
Cécile Duflot et Yannick Jadot, en septembre 2016.
Nicolas Tucat/AFP
Le choix de Yannick Jadot par 54 % des votants comme candidat à l’élection présidentielle semble confirmer le désir de renouvellement des adhérents et sympathisants de EELV.
Le marathonien Feyisa Lilesa a médiatisé la cause oromo en levant les mains en croix lors de son arrivée au marathon des Jeux olympiques de Rio en août 2016.
Olivier Morin/AFP
Plus que le modèle économique – et la non-répartition des richesses issus du développement du pays – c’est le modèle politique sans alternance, qui montre ses limites.
L'ancien président, cible privilégiée de tous les autres candidats.
Eric Feferberg/AFP
Si les échanges aigres-doux du débat traduisent à quel point l’ex-président n’est plus perçu par les ténors de la droite comme « le patron », le « tout sauf Sarkozy » montre qu’il continue d’obséder.
Un partisan de Donald Trump exhibe son soutien sans faille au candidat républicain, à West Des Moines (Iowa).
Tony Webster/Flickr
Après Paris, une deuxième salle de shoot ouvre ce lundi à Strasbourg. Le bilan affiché par ces lieux en Suisse montre une diminution des décès liés aux surdoses et de la prévalence du VIH.
L’Irak et la Syrie ont montré les limites du volontarisme. À quoi sert d’invoquer le leadership américain s’il ne peut guère changer la donne, et s’il n’est plus autant porteur de sens ?
Discours de Hillary Clinton en campagne, au théâtre Paramount de Seattle, le 14 octobre.
Brendan Smialowski/AFP
Il est rare qu’une candidate en campagne se soucie des personnes ayant des problèmes psychiques. Plus rare encore, qu’elle dénonce les discriminations à leur égard. Exemple à suivre.
Sept candidats, pour un socle commun de valeurs traditionnelles.
Martin Bureau/AFP
Une certitude après le 13 octobre : même si une bataille aura lieu pour capter les voix des électeurs centristes, le débat de la présidentielle sera fortement structuré par la dimension gauche-droite.
Des négociations sur un plateau.
Yoan Carle/Flickr
Surtaxe du roquefort par les États-Unis hier, oubli de l’Ossau-Iraty dans les négociations avec le Canada aujourd’hui, le libre-échange donne un goût amer au fromage français.
An over-crowded graveyard in Aleppo.
Abdalrhman Ismail/Reuters