Pour éliminer les mutilations génitales féminines d'ici à 2030, il faudrait progresser 27 fois plus vite. Comprendre les tendances changeantes qui sous-tendent cette pratique est un début.
Un manifestant contre les mutilations génitales féminines tient une pancarte devant l'Assemblée nationale à Banjul le 18 mars 2024.
Photo: Muhamadou Bittaye/AFP via Getty Images
Les jeunes filles parties en vacances dans le pays d’origine de leurs parents courent un risque de mutilations sexuelles, si celles-ci y sont pratiquées. Une campagne vise à mieux les informer.