La volatilité accrue des variables économiques et les incertitudes liées aux conflits géopolitiques amorcent un nouveau cycle marqué par une multiplication des mesures protectionnistes.
Depuis les années 1990, les sociétés transnationales en tant que propriétaires et gestionnaires de grands projets miniers sont redevenues la force dominante.
Le sommet Russie-Afrique présente des avantages évidents pour Moscou : il donne une impression de normalité et l'approbation tacite des élites africaines.
Les Vingt-Sept disposent de marges de manœuvre pour renforcer leur attractivité aux yeux des investisseurs et riposter ainsi aux mesures d’incitations fiscales adoptées mi-2022 aux États-Unis.
Dans la continuité de sa politique d’investissement à l’étranger, la Chine conclut avec l’Amérique latine et les Caraïbes des partenariats économiques de plus en plus étroits.
Le nombre de journées non travaillées a globalement évolué de manière indépendante de la croissance ou du volume d’investissements étrangers en France depuis les années 1970.
Statistiquement, il apparaît que davantage d'investissement est réalisé dans les pays non démocratiques dont le leader a un visage qui semble plus compétent.
Le retour d’Asie de certaines unités de production pourrait concerner en partie l’Europe centrale et orientale qui dispose déjà d’une forte base industrielle et où la main d’œuvre reste moins cher.
Près d’un euro sur quatre placé dans ou par un paradis fiscal dans le monde est désormais associé au Grand-Duché. Un chiffre en hausse depuis 2015, malgré les révélations des « Luxleaks ».
Les multinationales dont les ventes et les actifs sont répartis uniformément dans le monde sont moins nombreuses et plus vulnérables qu’on ne le pense.
Le CEPII a évalué l’impact des pratiques visant à tirer profit de la concurrence fiscale entre États sur les comptes courants de la Suisse, de l’Irlande, de Singapour, de Hong Kong et du Luxembourg.