Quand une vague un peu plus haute que ses voisines leur pompe de l’énergie, augmentant ainsi son amplitude au détriment de son environnement immédiat, on obtient une vague scélérate.
Dans le golfe de Gascogne, les activités anthropiques exercent de nouvelles pressions sur les écosystèmes océaniques profonds, et notamment des récifs coralliens.
La mer monte, et nous dressons des digues qui repoussent le problème sans le résoudre. Des solutions d’adaptation fondées sur la nature existent pourtant dans les marais littoraux.
Pour localiser et expertiser leur patrimoine culturel immergé, les scientifiques ont recours à des technologies de plus en plus sophistiquées, combinant précision maximale et préservation des épaves.
Le sable de nos plages qui semble inépuisable se renouvelle en réalité très lentement et constitue la seconde ressource minérale la plus exploitée par l’homme après l’eau.
Romain Julliard, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Face au déclin de nombreuses espèces ordinaires, les vacances sont l’occasion pour les citoyens de 7 à 77 ans de faire avancer la connaissance de la biodiversité… pour mieux la protéger.
Des technologies innovantes permettent de réaliser de véritables échographies des fonds marins avec les épaves qui s’y trouvent. l’exemple du Cobetas, échoué en rade de Brest depuis 1918.
Directeur de Recherche CNRS, Institut Méditerranéen de Biodiversité et d’Ecologie marine et continentale (IMBE), Centre national de la recherche scientifique (CNRS)