Si la climatologie et la météorologie reposent aujourd’hui sur la simulation informatique de modèles complexes, la mise en équation de l’atmosphère est vieille de plus d’un siècle.
C. elegans a beau être minuscule, c’est une star des laboratoires. En modélisant son système nerveux, les scientifiques veulent en apprendre plus sur les mécanismes qui fondent nos comportements.
Pour que ça ne gondole pas, une seule solution : rouler très lentement… difficile de traverser le désert en véhicule sans créer de rides dans ces conditions.
Le recours de plus en plus important à la sous-traitance, l’automatisation, les coupes budgétaires ou encore le vieillissement du matériel multiplie aujourd’hui le risque d’accident ferroviaire.
L’IA permet-elle de modéliser certaines pathologies neurologiques ? La question peut se poser pour l’épilepsie, où le cerveau a une activité excessive… Quelles sont les limites aux comparaisons ?
La modélisation de la diffusion des virus est un outil majeur lors d'une épidémie. Elle est souvent, malheureusement, trop grossière ou trop complexe pour être utile. Voici la solution intermédiaire…
Elisa Carli, Centre national d’études spatiales (CNES)
Les petits tourbillons dans l’océan transportent chaleur et carbone entre l’atmosphère et les profondeurs de l’océan. Le satellite SWOT permettra de mieux les observer.
Les scientifiques mettent en place de nouvelles techniques d’analyse de combats pour aider les boxeurs et les entraîneurs à améliorer leurs performances.
Domitille Louchard, Swiss Federal Institute of Technology Zurich and Mar Benavides, Institut de recherche pour le développement (IRD)
L’océan absorbe un quart du CO₂ émis par l’homme, notamment grâce au phytoplancton, dont les diazotrophes. Savoir modéliser ces microalgues est crucial pour comprendre le rôle de l’océan dans le climat.
Les modélisations jusque-là utilisées pour prédire l’évolution des vagues de variants du SARS-CoV-2 avaient des limites. Comment un nouveau modèle issu de la démographie permet d’y remédier.
En appliquant les lois de la physique classique et quantique, on peut comprendre comment les virus exploitent les cellules pour se reproduire et donc concevoir des nouveaux antiviraux.
Les ordinateurs les plus puissants du monde permettent de s’attaquer à des problèmes très complexes, comme le fonctionnement du cœur… et ses dysfonctionnements.
Colline Brassard, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN); Anthony Herrel, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN), and Stéphanie Bréhard, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Les chiens préhistoriques présentaient déjà une grande variété de taille et de forme de têtes, d’après une étude publiée aujourd’hui.
Les cultures cellulaires semblent prometteuses pour représenter les maladies. La boîte de Petri ne diffère pas autant d’une personne malade que l’on pourrait croire.
Modéliser les mouvements océaniques avec toujours plus de précision nous permettra d’anticiper à court et plus long terme son avenir et les phénomènes associés.
Bien qu’on utilise ses caractéristiques depuis plus de 1 000 ans, les modélisations de l’origine du champ magnétique terrestre se heurtent toujours à sa complexité.
Dans sa nouvelle étude,« Transition(s) 2050 », l’Ademe dévoile quatre scénarios pour lutter contre le changement climatique. La sobriété, à différents degrés, y tient une place de choix.
Sandra Bertezene, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
Des doubles virtuels d’organes existent déjà pour mieux préparer les soins. Les simulations de services hospitaliers commencent également à se développer, notamment pour la formation.
À travers une série d’articles, nos auteurs reviennent sur les fantasmes qui entourent l’amélioration de nos capacités cognitives. On ne peut (pas) encore faire n’importe quoi avec notre cerveau.
Professeur à l'université Clermont-Auvergne, enseignant à l'institut d'informatique ISIMA et chercheur au laboratoire LIMOS, Université Clermont Auvergne (UCA)
Chercheuse en sciences du climat, ancienne coprésidente du groupe de travail I du GIEC (2015-2023), directrice de recherche CEA au Laboratoire des Sciences du Climat et de l'Environnement / Institut Pierre Simon Laplace, Paris-Saclay, Université Paris-Saclay
Directeur de recherche au CNRS et Professeur à l’Université de Reading (Grande-Bretagne), Laboratoire d’océanographie et du climat, Institut Pierre-Simon Laplace, Sorbonne Université