Un projet de recherche transdisciplinaire tente de développer un modèle global, éthique et durable pour exploiter les cônes marins en Polynésie française.
Contrairement à ce que la science a longtemps cru, le plancton ne se laisse pas porter passivement par le mouvement des océans. Il s’y adapte, et en tire parti.
Shakuntala Haraksingh Thilsted est la lauréate du Prix mondial de l’alimentation 2021 pour ses travaux sur les petits poissons comme sources de nutrition précieuses dans les pays en développement.
Dans le cadre de la « Décennie de l’océan » lancée par l’ONU en 2021, de jeunes chercheurs et professionnels initient des actions entre les disciplines, les pays, les communautés et les générations.
Nadia Améziane, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) dan Marc Eléaume, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Embarquez sur l’Aurora Australis, un brise-glace de 100 mètres de long pour découvrir des espèces uniques, comme ce poisson au sang blanc dépourvu d’hémoglobine.
Les alertes se multiplient sur l’état des océans. Comment les sciences océaniques, entre diversité, coopération et ouverture, posent-elles les premiers jalons d’un océan bien commun ?
Les pressions anthropiques et le changement climatique menacent les poissons migrateurs. Mieux évaluer les services écosystémiques qu’ils nous rendent nous encouragerait à mieux les protéger.
Mangroves, coraux et herbiers marins forment à l’île Maurice trois écosystèmes interconnectés, dont l’équilibre peut être durablement bouleversé par la pollution au pétrole.
Dans le golfe de Gascogne, les activités anthropiques exercent de nouvelles pressions sur les écosystèmes océaniques profonds, et notamment des récifs coralliens.
Directeur de recherche au CNRS en turbulence et océanographie au Laboratoire d'Océanologie et de Géosciences, CNRS, Université du Littoral Côte d'Opale, Université de Lille