AgroParisTech est l’institut national des sciences et industries du vivant et de l’environnement, sous tutelle des ministères en charge de l’agriculture et de l’enseignement supérieur. Acteur de l’enseignement supérieur et de la recherche, ce grand établissement de référence au plan international s’adresse aux grands enjeux du 21e siècle : nourrir les hommes en gérant durablement les territoires, préserver les ressources naturelles, favoriser les innovations et intégrer la bioéconomie.
L’établissement forme en s’appuyant sur la recherche et sur ses liens aux milieux professionnels des cadres, ingénieurs, docteurs et managers, dans le domaine du vivant et de l’environnement, en déployant un cursus ingénieur, une offre de master et une formation doctorale en partenariat avec de grandes universités françaises et étrangères, ainsi qu’une gamme de formation professionnelle continue sous la marque « AgroParisTech Executive ».
AgroParisTech se structure en 10 centres en France métropolitaine et outre-mer dont 5 en Île-de-France, 5 départements de formation et de recherche, 22 unités mixtes de recherche, 1 unité de recherche et développement, 1 ferme expérimentale, 1 halle technologique, 5 tiers-lieux ouverts dits « InnLab » et compte 2 257 étudiants dont 275 doctorants et 283 enseignants, chercheurs et enseignants-chercheurs.
AgroParisTech est membre fondateur de l’Université Paris-Saclay, membre du réseau ParisTech et membre d’Agreenium.
André Torre, AgroParisTech – Université Paris-Saclay
La politique industrielle et d’aménagement du territoire pour relancer l’économie doit favoriser les secteurs vitaux (santé, alimentaire), « entraînants » (automobile, chimie) et régionalisés.
Face à une situation d’incertitude, notre première réaction est dictée par des automatismes basés sur des biais cognitifs. Ne pas en tenir compte affaiblit la portée des messages de santé publique.
À partir des données d’une étude de 2018, une grande majorité des Français auraient tendance à ne pas accepter volontairement à rester chez eux pendant quatorze jours en cas d’épidémie.
La recherche n’est une activité ni programmable ni mesurable. Peut-on alors répartir de manière équitable les moyens entre les équipes ? Réflexions à l’occasion de la future loi de programmation.
S’inspirant du principe de la classe inversée, le site Chimactiv créé à l’Université Paris-Saclay permet aux étudiants de mieux préparer leurs séances de travaux pratiques. Retour d’expérience.
Les promulgations successives de la loi sur l’Économie sociale et solidaire en 2014 puis de la loi Pacte en 2019 qui introduit le modèle d’entreprise à mission interrogent.
L’UE encourage les régions à devenir des leaders mondiaux dans les secteurs qu’elles auront choisis. Une politique mal adaptée aux territoires les plus pauvres.
Face à la multiplication des risques environnementaux, il est nécessaire d’introduire davantage de nature dans les villes pour tenter de les rendre plus résilientes.
Initié au printemps 2018, le Manifeste pour un réveil écologique rassemble des étudiants qui souhaitent initier des changements auprès des entreprises et des institutions.
Les enjeux environnementaux nous invitent à changer nos habitudes alimentaires, et notamment notre consommation de viande. Dans quelle mesure les consommateurs sont-ils prêts à y renoncer ?
L’après-viande est déjà là, mais tout le monde ne veut pas forcément manger du soja, des insectes, des vers ou de la spiruline. Trois chercheurs sondent l’avenir des protéines que nous avalons.
S’appuyer sur les ressources naturelles renouvelables pour construire ou produire des objets quotidiens plus durables, telle est la promesse de la bioéconomie.
Maître de conférences en comptabilité - Co-directeur des chaires "Comptabilité Ecologique" et "Double Matérialité", AgroParisTech – Université Paris-Saclay