L'Université Paris-Panthéon-Assas s’impose comme un nouvel acteur avec une ambition affichée : accompagner et soutenir les transformations du monde contemporain en tant qu’établissement d’enseignement supérieur et de recherche de premier plan, en France, en Europe et dans le monde.
Pionnière dans sa démarche, l'Université Paris-Panthéon-Assas est la première université en France à intégrer 4 Grandes écoles privées, reconnues d’intérêt général (EESPIG). Aux formations de droit, d’économie, à celles de la Maison des sciences de gestion et de l’Institut français de presse, se joignent désormais celles d’Efrei, école d’ingénieurs généraliste du numérique, de l’ISIT, institut de management et de communication interculturels, du CFJ, Centre de formation des journalistes et de l’école W, école de communication et de journalisme. Ces 4 membres intégrés, leaders dans leur domaine de spécialité, sont porteurs de forte valeur ajoutée dans les champs de la formation et de la recherche. Ce regroupement compte également un institut-partenaire public, l'Institut de recherche stratégique de l'École militaire (IRSEM) du ministère des Armées, qui apporte son expertise sur les questions de sécurité-défense et de relations internationales.
Chiffres clés : 2.300 étudiants, 1.500 enseignants, 26 centres de recherche et 25 sites.
Nul doute que si François Hollande offre aux électeurs de mettre sa tête sur le billot de la primaire, certains viendront faire tomber le couperet avec la même délectation que pour Nicolas Sarkozy.
Le ballet des hommes en charge de la conduite de la transition à Washington en dit peut-être plus qu’on ne le croit sur le type de présidence qu’exercera Donald Trump.
Trump is not a disease that befell the United States, he’s a symptom of a potentially severe illness. Recovering American democracy will take quite some time.
L’enquête sur l’affaire des e-mails d’Hillary Clinton est relancée, alors que l’écart s’est à nouveau resserré au niveau national entre les deux principaux candidats.
Lors du troisième et ultime échange entre les deux candidats, Donald Trump a menacé de ne pas reconnaître son éventuelle défaite, accusant le camp démocrate de fraudes.
Son ton nouveau et sa capacité de jouer le rôle du chien dans un jeu de quilles lui avait donné une emprise sans précédent sur la campagne. Mais cette nouveauté n’a pas duré : tout passe, tout lasse.
Le second débat a été extrêmement tendu et tout aurait pu déraper à n’importe quel moment. Aucun des candidats n’a réellement pensé à développer des points en rapport direct avec leurs électeurs.
Les deux candidats, dont l'impopularité atteint des sommets jamais vus lors d'une campagne, ont croisé le fer autour de trois grands thèmes : la direction des États-Unis, la prospérité et la sécurité.
Que se passe-t-il dans notre société pour qu’on en soit arrivé à considérer qu’un islamophobe patenté mérite de faire la tournée des plateaux télé, y compris sur le service public ?
En attendant le premier débat entre les deux candidats à la Maison-Blanche, ces derniers sont intervenus publiquement sur les questions internationales. Et Donald Trump a mieux résisté que prévu.
Devancé pendant la campagne dans les sondages par Hillary Clinton, Donald Trump s'est employé avec opiniâtreté à allumer une polémique concernant, notamment, la question des pièces d’identité.
En 2004, John Kerry possédait, à la même époque une avance considérable sur George W. Bush. Une avance équivalente à celle d’Hillary Clinton sur Donald Trump aujourd’hui.
C’est le moment du sacre pour Donald Trump, qui sera choisi à Cleveland par les délégués et recevra l’investiture du Parti. Retour sur la campagne d’un homme qui a déjoué tous les pronostics.
L’avenir de l’Union européenne se trouve dans une forme inédite de fédéralisme coordinateur et protecteur, à inventer par des dirigeants qui auraient la trempe d’hommes d’État visionnaires.
Sans attendre la Convention démocrate de cet été, Hillary Clinton assure disposer de la majorité pour devenir la candidate à la présidentielle américaine. Avec de bonnes chances de l'emporter.
La prochaine présidentielle aux États-Unis verra peut-être la victoire historique d’une femme. Mais, paradoxalement, Hillary Clinton séduit peu dans cette partie de l’électorat. Voici pourquoi.
Recevant en avril un rapport sur la fusion des minima sociaux, le premier ministre s’est dit favorable à un débat sur le revenu universel de base. La Suisse va voter sur le sujet.
Comment échapper au sort d’Al Gore, considéré en 2000 comme le meilleur candidat, mais trop éloigné des gens ? De passage à Paris, une conseillère d’Hillary Clinton éclaire sa stratégie pour gagner.
Maître de conférences de sciences économiques, Laboratoire d’Economie Mathématique et de Microéconomie Appliquée (LEMMA), Université Paris-Panthéon-Assas
Research Fellow à la Vytautas Magnus University (Kaunas), chercheure à l'Université Vytautas Magnus de Kaunas, Lituanie, Docteure associée au Centre d'Études et de Recherches de Sciences Administratives et Politiques (CERSA), Université Paris-Panthéon-Assas
Docteure en relations internationales, maitresse de conférences en science politique à l'Université de Reims Champagne-Ardenne (URCA), chercheure associée au Collège de France, chercheure associée au centre Thucydide, Université Paris-Panthéon-Assas
Docteur en science politique. Université Paris-Panthéon-Assas, ATER à l'Université Clermont-Auvergne, spécialisé en histoire sociale des idées partisanes, Université Paris-Panthéon-Assas