Les causes des violences à l’encontre des animaux sont souvent classées en deux catégories : les perturbations psychologiques individuelles et les normes culturelles.
Si tentant soit-il de hurler « bon sang, mettez votre masque » à une personne qui n’en porte pas, cela n’aura probablement aucun effet. Il existe des façons plus efficaces de faire passer le message.
« Qui n’aime pas les animaux n’aime pas les gens ». La maxime populaire n’est peut-être pas dénuée de sens : maltraitance animale et violence envers ses semblables semblent effectivement liées.
Terreur, idéalisation et pseudo-réalité se combinent dans le burn-out. Un épuisement professionnel mêlant des éléments individuels, relationnels et organisationnels et s’installant en six temps.
Pour aider les adolescents à affronter la rentrée scolaire, et désamorcer les inquiétudes, il faut les impliquer dans les prises de décisions et expliquer le contexte de façon claire et adaptée.
En concentrant les obligations parentales sur quelques fondamentaux simples, le confinement aurait-il, de manière transitoire, relégitimé pères et mères dans leur rôle parental ?
Claude Martin, École des hautes études en santé publique (EHESP)
Dans les rayons des librairies, les livres de conseils destinés aux parents se multiplient. Qu'en penser ? Une certaine pression sociale ne s'aiguise-t-elle pas derrière ces bonnes intentions ?
Virginie van Wassenhove, Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA)
Il nous est très difficile de mesurer objectivement notre perception du temps, très relatif. Pourtant des techniques existent pour comprendre comment nous avons perçu les durées en confinement.
Loin de vieillir l’image des marques, les personnes âgées génèrent un phénomène d’identification positive qui renforce l’intérêt et la confiance du consommateur.
La pandémie a conduit plus d’enfants à s’interroger sur des sujets comme la solitude, l’isolement, l’ennui, la maladie et la mort. Quelques pistes pour dialoguer en famille.
Le respect des consignes sanitaires varie selon que l’on estime une maladie proche ou distante de soi. Un paramètre dont on devrait tenir compte dans la mise en œuvre des politiques de prévention.
Nous vivons une période historique. C’est le moment de réfléchir ensemble aux leçons à tirer de ce vécu qui, pour la première fois depuis le début de l’humanité, est quasi universel.
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)
Professeur de psychologie sociale, membre honoraire de l’Institut universitaire de France (IUF), directeur de la MSH Alpes (CNRS/UGA), Université Grenoble Alpes (UGA)
Professeur des universités en sciences de l'éducation/formation des adultes, Formation et Apprentissages Professionnels, Cnam, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)