Le cas de la start-up Phenix montre que la lutte contre le gaspillage alimentaire nécessite un contexte réglementaire incitatif et des logiques d’innovation à l’échelle de l’écosystème d’affaires.
Dans un supermarché, au rayon biscuits. La France a adopté le 31 octobre le NutriScore, un logo destiné à informer les consommateurs sur la valeur nutritionnelle des aliments.
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Les consommateurs peuvent connaître la qualité des aliments d’un point de vue nutritionnel grâce au NutriScore. Une pétition dénonce les tentatives de plusieurs fabricants pour contrer ce logo.
La météo a un impact sur la vente de certains produits, dits « météo-sensibles ». Pour certains d’entre eux, l’adaptation du prix et de la publicité permet d’augmenter le profit de l’entreprise.
Pour le consommateur européen, le milieu naturel de la banane est le rayon fruits du supermarché.
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Les bananes que l’on trouve en supermarché, toutes quasi-identiques, ne sont pas représentatives de la grande diversité d’espèces et de variétés existantes de ce fruit.
La perception d'un produit par le consommateur dépend de la manière dont les produits concurrents se présentent, au sein d’un même rayon.
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Des millions de tubes ou de pots entourés de carton et de plastique… Le suremballage constitue une importante source de déchets qui peut être aisément réduite.
Rayon fruits et légumes chez Whole Foods Market.
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Le géant Amazon est prêt à dépenser près de 14 milliards de dollars pour acheter la chaîne de supermarchés bio. Une stratégie en phase avec les évolutions profondes du marché. À confirmer cependant.
Au rayon viennoiseries d'un supermarché, à Paris. Bientôt des codes couleurs simples permettront de repérer en un coup d'oeil la qualité nutritionnelle des produits. Si les fabricants les utilisent.
Estelle Saget/The Conversation France
Des codes couleurs simples vont permettre aux consommateurs de repérer les produits alimentaires les plus sains dans les supermarchés. Sauf que les fabricants font de la résistance.
Lors de l'expérimentation nationale de quatre systèmes d'étiquetage nutritionnel, ici dans un supermarché à Lyon, le 28 octobre 2016.
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Quatre logos nutritionnels ont été testés l’automne dernier sur des produits alimentaires. Avant l’annonce des résultats, on doit s’interroger sur l’objectif de cette étude nationale.
Dans un supermarché à Arcachon (Gironde).
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Yaourts, biscuits, petits pois : les produits alimentaires devraient bientôt porter des logos permettant de reconnaître les meilleurs du point de vue nutritionnel. Est-ce vraiment utile ?
Un supermarché en région parisienne. 60 magasins ont participé à l'automne dernier au test de 4 logos nutritionnels différents.
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Le test de futurs logos nutritionnels sur les produits alimentaires, à l'automne dernier, n’a pas fourni les preuves de son utilité. Retour sur les biais d'une expérience discutable.
En France, le marché du bio est en pleine croissance, avec un chiffre d’affaires passé de 1,6 milliard en 2005 à 5,5 milliards en 2015.
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Comment les grandes entreprises tentent de répondre avec plus ou moins de succès aux attentes des consommateurs en matière de protection de l’environnement.
Les distributeurs disposent de beaucoup de données chiffrées sur leurs produits. Celles-ci sont précieuses pour combattre le gaspillage alimentaire, comme en témoigne la dernière étude de l’Ademe.
Après le lait, bientôt des pizzas équitables.
lamarqueduconsommateur.com
Daniel Goujon, Université Jean Monnet, Saint-Étienne and Éric Dacheux, Université Clermont Auvergne (UCA)
Même dans une société dominée par les arbitrages financiers, les citoyens peuvent avoir une influence sur l’économie. La preuve avec le succès de la marque « C’est qui le patron ?! ».
La Louve, un supermarché coopératif et participatif détenu par ses clients, ouvrira ses portes dans le XVIIIᵉ arrondissement de Paris à l’automne 2016. Histoire et enjeux de la démarche.
Dès 1995, les centres Leclerc mettaient en place le sac plastique consigné et réutilisable. Retour sur une décision qui n’avait pas fait d’émules à l’époque.
Des formes qui défient les standards.
L'imaGiraphe/flickr
La grande distribution propose ponctuellement des légumes dont l’aspect ne répond pas aux critères esthétiques en vigueur pour lutter contre le gaspillage alimentaire.
Professeur Emérite de Nutrition Université Sorbonne Paris Nord (Paris 13) - Praticien Hospitalier Département de Santé Publique, Hôpital Avicenne (AP-HP), Equipe de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle, U1153 Inserm,Inra,Cnam, Université Sorbonne Paris Nord
Maitre de Conférence Université Paris 13, Praticien Hospitalier, Hôpital Avicenne (AP-HP), Equipe de Recherche en Epidémiologie Nutritionnelle, U1153 Inserm,Inra,Cnam, Université Sorbonne Paris Nord