Le 13 mars 2024, le milliardaire australien Clive Palmer a relancé l’idée d’une réplique du paquebot Titanic. Une énième annonce pour un projet aussi cynique que techniquement absurde.
Les idées économiques du nouveau dirigeant argentin empruntent largement au schéma intellectuel défendu par l’école économique autrichienne et Friedrich Hayek.
Ce dimanche, à l’issue d’une campagne tendue, les Argentins départageront deux candidats que tout oppose. Quelle que soit l’issue du scrutin, le vainqueur devra composer avec le camp adverse.
Sans doute que la liberté promue par Adam Smith et la « main invisible » est celle qui réduit l’arbitraire et les privilèges, pas celle qui empêche de légiférer et de prélever un impôt.
Aux États-Unis, certains gouverneurs assouplissent depuis quelques mois les textes encadrant le travail des mineurs, allant parfois même à l'encontre des normes fédérales.
Dette publique, pauvreté, infrastructures… Le bilan économique des mandats de premier ministre de l’homme d’affaires, décédé le 12 juin, reste largement négatif malgré la modernisation promise.
Yoann Bazin, EM Normandie and Maja Korica, Warwick Business School, University of Warwick
« Bon voisin », tel est la formule qui était employée lorsque les premières réflexions ont émergé sur la responsabilité sociale des entreprises, concept que l’on peine aujourd’hui à cerner.
Difficilement classable sur la scène politique argentine, l’économiste Javier Milei, en tête des sondages pour la présidentielle, propose notamment de supprimer la banque centrale.
Salma El Bourkadi, Conservatoire national des arts et métiers (CNAM)
Pour les travailleurs ubérisés, un nouveau combat relatif à la protection des données émerge, qui se heurte à de nombreux obstacles sociaux et politiques.
Les marchés financiers se déterminent aujourd'hui en grande partie en fonction des politiques des banques centrales – comme avant le mouvement de libéralisation de l'économie débuté il y a 40 ans.
Son mandat de premier ministre a été le plus court de l’histoire britannique. Mais en réalité, les problèmes de Liz Truss avaient commencé avant même son entrée en fonctions.
L’absence de normes définissant le bien commun et la place insuffisante des arguments scientifiques dans le débat démocratique fragilisent la capacité du libéralisme à faire face aux menaces globales.
Au-delà des polémiques, les propos d’Emmanuel Macron laissent entrevoir dans la crise climatique une opportunité de rompre avec les errances des systèmes qui prévalent depuis 30 ans.
L’invasion de l’Ukraine par la Russie révèle au grand jour la nouvelle donne des relations internationales. Elle met à mal le libéralisme, vu comme une panacée depuis la chute du rideau de fer.
L’expérience de l’Allemagne après 2015 montre que de nombreux décideurs voient dans les migrants une « armée de réserve industrielle » qui permet de compresser les salaires.
Les difficultés économiques de l’Italie sont-elles dues à l’insuffisante application des préconisations européennes ou, au contraire, à leur excessive mise en œuvre ?
L’exposition présentée à la fondation Cartier représente-t-elle une exception dans une carrière marquée par des liens étroits avec le monde de la finance et du luxe ?
Le modèle scandinave montre qu’un suivi étroit dès la perte d’emploi augmente la probabilité de sortir du chômage. Une efficacité liée toutefois à une indemnisation généreuse.
Le néolibéralisme, en cherchant à accroître l’esprit de compétition tout en réduisant la sensation d’être connecté aux autres, augmente le sentiment de solitude qui peut conduire au mal-être.