Quelle violence est la plus grande. Le fait de devoir se contenter d’un emploi mal payé ? Ou celui de ne pas avoir accès à un emploi, même mal payé ?
Emmanuel Macron en France et Donald Trump incarnent cette nouvelle forme d’«antisystème» synonyme d’une gestion des affaires publiques ouvertement inspirée du monde des affaires. Ici à Winnifield, 2018.
AFP
La rhétorique antisystème a envahi l’espace médiatique et politique et n’a jamais été aussi présente en France et dans le monde. Les candidats issus de l’entreprise l’ont bien compris.
C’est au travers d’images et de témoignages saisissants que nous redécouvrons Solidarność, cette contestation polonaise ouvrière contre le régime communiste, devenue un mouvement international.
Le premier ministre polonais Mateusz Morawiecki (à gauche), le premier ministre hongrois Viktor Orban et le premier ministre tchèque Andrej Babis (à droite) rencontrent la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen (2e à droite) à Bruxelles le 24 septembre 2020.
François Lenoir/AFP
La crise de la Covid-19 sonne le retour de l’intervention publique et nous donne l’occasion de revenir sur la politique de Gaulle, plus libérale qu’elle n’y paraît.
Une banque alimentaire installée à l'entrée d'une église du Bronx, à New York. Ce quartier est l'un des plus touchés par la pandémie : le taux de mortalité y est le plus élevé de la ville et le taux de chômage y atteint officiellement 21 %.
Spencer Platt/Getty Images/AFP
Assommés par la crise sanitaire, les États-Unis sont marqués par une forte hausse des inégalités. Entre le début et la fin de son mandat, Donald Trump aura bel et bien vu le pays s’appauvrir.
Une retransmission en direct d’un discours de Donald Trump est projetée à la Bourse de New York le 15 novembre 2017.
Bryan R. Smith/AFP
Le président américain aura imprimé sa marque à l’économie américaine : baisses d’impôts massives, guerre commerciale avec la Chine, dérégulation bancaire et environnementale… Pour quels résultats ?
Le président polonais Andrzej Duda s'adresse à ses partisans après l'annonce des résultats des sondages de sortie des urnes oà Pultusk, le 12 juillet 2020.
Janek Skarzynski/AFP
La réélection de l’ultra-conservateur Andrzej Duda à la présidence de la Pologne aura des conséquences pour le pays, bien sûr, mais aussi pour l’UE.
Des gens applaudissent lors d'une cérémonie le 11 juin 2020 marquant le redémarrage de la fontaine historique de Genève, connue sous le nom de « Jet d'Eau », après 83 jours d'extinction.
Fabrice Coffrini/AFP
À l’encontre de l’alarmisme ambiant, de nombreux signes laissent penser que des changements positifs sont possibles à long terme.
La volonté de combattre le virus « quoi qu’il en coûte » énoncée par le président de la République Emmanuel Macron dans son allocution télévisée du 12 mars dernier, un révélateur du « moment keynésien » actuel.
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Dans la foulée de la longue controverse du Brexit, le gouvernement Johnson a opté face au Covid pour un positionnement résolument opposé à celui des pays de l’UE.
Boris Johnson lors d'une conférence de presse à Londres, le 12 mars 2020.
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Face à l’épidémie, le Royaume-Uni a longtemps refusé de mettre en place le confinement. Une attitude officiellement fondée sur des considérations scientifiques mais en réalité très politique…
Emmanuel Macron lors d'une visite à des exploitants agricoles dans serre de tomates à Cleder, le 22 avril 2020.
STEPHANE MAHE / POOL / AFP
Le macronisme reste toujours une formule managériale appliquée au politique où seul le résultat compte. Le contexte actuel peut-il permettre un renouveau ?
Des avions de la compagnie KLM à l'aéroport d'Amsterdam, 23 avril 2020.
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La crise actuelle cloue les avions au sol. Les États et les institutions de l’UE se portent donc au secours des compagnies aériennes européennes, mais ces aides s’accompagnent de nombreuses questions.
Donald Trump pendant une rencontre avec des patients ayant guéri du coronavirus à la Maison Blanche, le 14 avril 2020.
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Les États-Unis sont déjà le pays du monde où le nombre de victimes du Covid-19 est le plus élevé. À la crise sanitaire s’ajoute une crise économique aux conséquences encore difficiles à imaginer…
Les indicateurs économiques actuels nous poussent-ils vraiment à prendre les meilleures décisions ?
Andreas Solaro / AFP
Confinement, le remède est-il pire que le mal ? Comment raisonnent les économistes et pourquoi il faut savoir ne pas les écouter, ni face aux virus, ni face au dérèglement climatique.
Angela Merkel et Viktor Orban à Berlin, le 10 février 2020.
Odd Andersen/AFP
Avec le départ des députés britanniques, il ne reste au Parlement européen que des forces favorables à la préservation de l’UE. Le combat politique n’en sera pas moins acharné.