Par « effet de halo », nous en venons à penser qu’un chocolat présenté comme meilleur pour la santé est aussi plus respectueux de l’environnement – sans que rien ne nous soit communiqué à ce sujet.
Une étude montre que les récentes préoccupations environnementales sont en partie liées aux priorités sanitaires du contexte de pandémie, l’effacement des unes pouvant entraîner celui des autres.
Eurythenes atacamensis, un amphipode nécrophage géant des profondeurs hadales de la fosse du Pérou-Chili.
(Alan Jamieson)
Selon l’espèce des anémones dans lesquelles ils vivent les bandes blanches des poissons-clowns n’apparaissent pas au même moment.
Cela fait des décennies que les scientifiques tentent de déterminer les causes exactes du déclin de certaines populations de saumons sauvages du Pacifique.
(Amy Romer)
Le saumon du Pacifique partage ses eaux avec des saumons de l’Atlantique non indigènes élevés pour la consommation. Ils ont été contaminés par un virus introduit par ces derniers.
Shakuntala Thilsted, à droite, au Bangladesh.
Flo Lim/WorldFish
Shakuntala Haraksingh Thilsted est la lauréate du Prix mondial de l’alimentation 2021 pour ses travaux sur les petits poissons comme sources de nutrition précieuses dans les pays en développement.
Un grand iceberg tabulaire au large de la Terre Adélie.
Marc Eleaume
Nadia Améziane, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) e Marc Eléaume, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Embarquez sur l’Aurora Australis, un brise-glace de 100 mètres de long pour découvrir des espèces uniques, comme ce poisson au sang blanc dépourvu d’hémoglobine.
Un pêcheur sur le Vieux Port de Marseille le 3 mai 2020.
Christophe Simon / AFP
Riches en oméga-3, des acides gras essentiels, les micro-algues peuvent avantageusement remplacer les sources habituelles (huiles végétales, poissons bleus). Plusieurs sont aujourd’hui à l’étude.
Les humains ont plusieurs points en commun avec les poissons: consommation de drogues, problèmes de mémoire liés à l'âge et la même impatience lorsqu'il faut attendre la nourriture.
Xu Wei Chao/Shutterstock
Les poissons sont plus complexes qu’on ne l’imagine, et surtout, ils ont plus en commun avec nous que nous ne voulons l’admettre.
Mouches mexicaines des fruits. Originaire du Guatemala et du Mexique, cette espèce est envahissante en Californie, où elle pèse sur l’agriculture du pamplemousse. Ici, des femelles déposant leurs œufs sur un fruit.
Jack Dykinga/USDA Agricultural Research Service (2007)
Les invasions biologiques sont une menace importante pour la biodiversité, mais elles coûtent aussi très cher à nos sociétés. Une étude estime ce coût à plus de 1000 milliards de dollars depuis 1970.
CT scan d’un poisson-lune de 1,42 mètre de long, pour voir ses organes internes.
Bruno Chanet, MNHN
L’océan Atlantique continue de s’étendre mais les hommes surexploitent ses ressources, dont l’espèce la plus célèbre – la morue – illustre les ravages de la pêche à outrance.
Le barrage de Caban Coch, dans la vallée de l'Elan au Pays de Galles, n'est que l'un des 1,2 million d'obstacles fluviaux estimés en Europe.
Sara Barrento/Nature
Une nouvelle recherche publiée dans la revue Nature révèle qu'il existe plus de 1,2 million de barrières d'écoulement sur les rivières européennes et qu’environ 10 % sont obsolètes.
Les poissons migrateurs comme le saumon, autrefois connus pour leur abondance, se raréfient sous la pression anthropique.
Shutterstock
Les pressions anthropiques et le changement climatique menacent les poissons migrateurs. Mieux évaluer les services écosystémiques qu’ils nous rendent nous encouragerait à mieux les protéger.
Un pêcheur inuit creuse la glace de façon traditionnelle afin d'installer ses filets.
Véronique Dubos
Véronique Dubos, Institut national de la recherche scientifique (INRS)
Les Inuits conçoivent que tous les êtres vivants ont un certain libre arbitre. Et si la rigide science cartésienne s’ouvrait un peu à cette vision du vivant ?
Pour les poissons aussi, le paysage sonore évolue.
Peb&Fox/Syndicat national de l’édition
Mangroves, coraux et herbiers marins forment à l’île Maurice trois écosystèmes interconnectés, dont l’équilibre peut être durablement bouleversé par la pollution au pétrole.