L’épidémie de coronavirus a apporté son lot de nouveaux mots (« apérue », « coronabdos ») mais aussi de débats sur l’orthographe et la grammaire. De quoi éclairer la manière dont évolue une langue.
La philosophe française Barbara Cassin pose à l'intérieur de la bibliothèque après sa cérémonie d'intronisation à l'Académie française, à Paris, le 17 octobre 2019.
AFP/ François Guillot
Mathieu Avanzi, Université catholique de Louvain (UCLouvain)
Mathieu Avanzi tient le blog « Français de nos régions » où il nous fait découvrir les différentes façons de parler le français. L’exemple de 70, 80 et 90 à travers l’histoire et la géographie.
Miss.Tic : le masculin l'emporte, mais où ?
Magali Vacherot/Flickr
La langue représente un enjeu de pouvoir fondamental. On a encore pu le voir récemment dans une circulaire du premier ministre portant sur l’écriture inclusive.
Les membres de l’Academie française en mars 2010.
Philippe Wojazer/AFP
L’orthographe du français cumule deux propriétés contradictoires : c’est un moyen d’accès vers l’écrit et un instrument de distinction sociale. Quels problèmes cela pose-t-il et comment y remédier ?
Pour beaucoup d’enseignants, le métier est synonyme d’écrasement, de course tout aussi mentale que physique… et de solitude.
Josiah Mackenzie
Reçu sous la Coupole le 28 janvier 2016, Alain Finkielkraut est un critique féroce de tout « progressisme ». Est-il pour autant réductible à l’étiquette de « néo-réac » ? Retour sur son parcours.