Dans notre alimentation, l'apport en acides gras oméga-6 et oméga-3 est très déséquilibré. Ce qui augmente le risque d’obésité et pourrait aussi favoriser certains troubles cognitifs.
Les informations extraites d’un échantillon de sang ne dépendent pas toujours de ce que nous avons mangé au cours des heures précédentes. Quand faut-il être à jeun avant de faire une prise de sang ?
En analysant de petits échantillons de graisse d’orque, les scientifiques peuvent découvrir leur régime alimentaire. Cela a des répercussions sur notre compréhension de l’évolution des écosystèmes.
Les partisans du jeûne intermittent affirment que l’horloge peut vous aider à gagner la bataille des bourrelets. Mais la science qui se cache derrière est un peu plus compliquée.
La consommation de « gras » est aujourd’hui mal perçue dans les sociétés occidentales. Pourtant, la recherche montre qu’au Paléolithique, la moelle était prisée – et utile à l’équilibre alimentaire.
Très tôt, l’obésité a été identifiée comme facteur de risque face à la Covid. Restait à comprendre pourquoi… Plusieurs pistes ont été identifiées, et contribuent déjà au développement de traitements.
Riches en oméga-3, des acides gras essentiels, les micro-algues peuvent avantageusement remplacer les sources habituelles (huiles végétales, poissons bleus). Plusieurs sont aujourd’hui à l’étude.
L’UE limite la teneur en graisses « trans » dans les aliments issus de l’agroalimentaire. Comment un changement assez simple à l’échelle moléculaire peut-il avoir des répercussions sur la santé ?
Chargée de recherche Inserm au sein de l’Institut de Pharmacologie Moléculaire et Cellulaire (IPMC – Université Côte d’Azur / CNRS), Université Côte d’Azur