Le 6 janvier 2021, Donald Trump s'adresse à ses partisans à Washington. Peu après, des milliers d'entre eux entreront de force au Capitole.
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Le discours que Donald Trump a prononcé le 6 janvier à Washington, et qui a incité ses sympathisants à investir de force le Capitole, constitue un parfait condensé de sa rhétorique populiste.
La présidente de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, le président de la Commission de la Chambre sur le pouvoir judiciaire Jerry Nadler (à gauche) et le président de la Commission des affaires étrangères de la Chambre Eliot Engel, lors d'une conférence de presse suivant le vote d'impeachment de Donald Trump, Wahington, le 18 décembre 2019.
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Les Démocrates savent parfaitement qu’ils n’ont aucune chance d’obtenir l’impeachment de Donald Trump. Leur objectif est de mobiliser leur électorat en vue de la présidentielle de novembre.
Trump est désormais dans une posture délicate en cas de non soutien de certains républicains.
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La procédure de destitution déclenchée par les démocrates met la pression sur les républicains qui soutiennent Donald Trump. Le président américain traverse une réelle épreuve politique.
Donald Trump a bien l'intention de combattre la procédure de destitution.
Michael Vadon
Les démocrates ont annoncé le déclenchement d’une procédure de destitution contre Donald Trump. Que risque le président américain ?
La présidente de la Chambre des représentants des États-Unis Nancy Pelosi et le président Donald Trump lors de son discours sur l'état de l'Union au Capitole des États-Unis, le mardi 5 février 2019, à Washington DC.
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Marie-Cécile Naves, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Depuis le rapport du procureur Mueller qui réfute l'existence d'un accord entre Trump et les Russes lors de la campagne de 2016, le président américain profite d'une confiance retrouvée.
Le Président en campagne, en Virginie, le 2 novembre 2018,
Nicholas Kamm/AFP
Les démocrates, qui évoquent le Watergate, n’accepteront jamais que l’agence chargée de l’enquête sur les liens entre le Président et la Russie soit dirigée par un conservateur ou un proche de Trump.
Donald Trump, le 6 avril 2017, annonçant les frappes américaines sur la Syrie.
Jim Watson/AFP
Échecs à répétition sur le front intérieur, accusations de collusion avec la Russie, guerre des clans à la Maison Blanche : il était urgent pour le Président américain de réagir, et ce fut en Syrie.
Le président « élu », le 28 décembre 2016.
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Le Parti et le Congrès se sont rangés comme un seul homme derrière le président dès le 8 novembre. Tous savent que la réussite du mandat de Donald Trump conditionnera le maintien de leur siège.