Jusqu’au mois de mars 2022, nous vous proposons de suivre le périple des membres de la Dynamique pour une transition agroécologique au Sénégal sous la forme d’un journal de bord.
Depuis plusieurs décennies, cet espace est en proie à un déséquilibre anthropo-écologique, auquel s’ajoute les changements climatiques amorcés depuis le début des années 1970.
En occupant fin novembre 2021 le bois de la Colombière à la Clusaz, des militants écologistes ont mis en lumière les tensions autour de l’aménagement local à l’heure du changement climatique.
La surveillance de la qualité des eaux souterraines s’est accrue ces dernières années, en lien notamment avec la production d’eau potable. Le nitrate représente l’un des paramètres les plus mesurés.
Les fleuves français charrient dans leurs eaux encore trop d'azote et de phosphate qui, une fois déversés en mer, contribuent au phénomène d'eutrophisation des eaux marines côtières.
Ressource et menace à la fois, le Rhône a vu la France et la Suisse tenter depuis le XVIIIᵉ siècle de dresser des frontières immuables entre lui et les terres… sans grand succès.
Pour guider leurs achats durables, les Français font confiance aux labels et notamment au label bio. Mais le cahier des charges de ce label se montre lacunaire sur la question de l’eau.
Nous manquons déjà d’eau, localement et de plus en plus souvent. Des outils existent pour une meilleure gestion intégrée de cette ressource, reste à les mettre en œuvre plus efficacement.
Plongée à l’intérieur de la planète rouge grâce à l’unique sismomètre martien. Une avancée méthodologique majeure et des connaissances primordiales pour comprendre l’histoire de notre voisine.
Hôte des « Fines de Claire », l’estuaire de la Seudre mélange eaux douces et eaux salées et accueille une riche biodiversité, fruit d’une évolution géologique récente.
À El Alto, près de La Paz, la gestion de l’eau dans les foyers révèle des inégalités de genre persistantes. Même quand on dispose enfin de l’eau au robinet, comme le montre le cas d’Eva Condori.
Franck Montmessin, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Des résultats récents permettent de comprendre comment l’eau disparaît de la planète rouge. Un potentiel climat chaud et humide dans le passé aurait pu favoriser l’apparition de la vie.
L’enchaînement de semaines pluvieuses laisse espérer une recharge des réserves d’eau souterraines… Mais c’est ignorer les multiples obstacles que rencontre la pluie pour rejoindre les nappes !
Professeur des Universités, Exobiologiste au Laboratoire Atmosphères Modélisaton et Observations Spatiales (LATMOS), Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay