Des gens font la file devant un refuge pour sans-abri à Montréal, en mars 2020. Les problèmes sociaux sont de plus en plus complexes et pour les résoudre, il est nécessaire d’avoir recours à des solutions innovantes qui peuvent s’échelonner sur de très longues périodes.
La Presse canadienne/Ryan Remiorz
L’innovation sociale s’impose de plus en plus comme solution aux problèmes sociétaux complexes et aux grands défis humanitaires, de même que comme moteur du développement social.
Des bénévoles distribuent des repas aux migrants dans un camp de fortune à Mardyck, dans le nord de la France, le 9 mars 2023.
Sameer Al-Doumy/AFP
Les arrêtés pris pour freiner les distributions alimentaires n’ont pas pour le moment porté leurs fruits mais cela envoie un signal fort aux populations visées.
Une tente sur le trottoir dans le quartier Downtown Eastside de Vancouver. Les transferts d’argent peuvent aider certaines personnes à trouver un logement convenable et permettre aux gouvernements d’économiser de l’argent.
La Presse canadienne/Darryl Dyck
Les chercheurs ont constaté que la plupart des sans-abri dépensaient l’argent qu’ils recevaient pour payer leur loyer, leur nourriture et d’autres frais de subsistance.
Plusieurs critères président aux choix contraints opérés par les sans-abri pour élire un lieu de repos.
Jon Tyson/Unsplash
Les « enfants de la rue » font partie de ces figures emblématiques de la misère et de la relégation familiale qui nourrissent les préjugés. Enquête ethnographique au Burkina Faso.
Les sans-abri ne sont pas si isolés, « en errance », désorganisés et livrés à la loi du plus fort qu’il n’y parait de prime abord.
Joel Saget/AFP
L’expérience du sans-abrisme et de l’extrême pauvreté n’est pas qu’ individuelle. Elle se structure au contraire via un réseau d’interconnaissance, de normes et de valeurs.
Si la première préoccupation dans les centre d’hébergement d’urgence est de fournir une assistance matérielle, le soutien psychologique ne doit pas être oublié.
Stéphane de Sakutin / AFP
Les conséquences de la non prise en charge psychologique des personnes accueillies dans les centres d’hébergement d’urgence peuvent être graves, pour elles et pour les autres. Enquête de terrain.
Andrian, photographié le 25 février par Benjamin Laurent (Parolox), pour la FIRAH dans le cadre de la recherche « Handicap et grande précarité ».
Le squatteur, en situation précaire, est un occupant sans droit ni titre qui dérange le plus souvent. Examen de la nouvelle proposition de loi dans le cadre déjà existant.
Manifestation organisée à l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination de la violence contre les femmes, le 25 novembre 2020 à Istanbul. La banderole proclame « Nous sommes debout ».
Yasin Akgul/AFP
Une enquête montre l’impact que la crise sanitaire et ses corollaires, à commencer par le confinement, ont eu sur la vie professionnelle et personnelle des femmes en Turquie.
Des nomades jouissent de la liberté de vivre dans leur véhicule.
(Alex Guillaume/Unsplash)
Découvrir l’expérience de ces nomades automobiles peut être intéressant non seulement pour ceux qui souhaitent mettre fin aux loyers et hypothèques, mais aussi pour les urbanistes et les employeurs.
Un sans-abri sur les Champs-Élysées déserts, le 23 mars 2020.
Philippe Lopez / AFP
Les sans-abri et les populations fragiles sont plus vulnérables face à la pandémie. Les grandes crises du passé permettent de prendre la mesure de cette vulnérabilité et d’observer les réponses apportées.
“Je suis chez moi, restez chez vous”
Actualités - Covid 19 - Jane Pannier
Alors que le mot d’ordre « restez chez vous » est martelé dans tous les médias, quel accompagnement a été mis en place pour les personnes les plus vulnérables, les « oubliés » du confinement ?
Les Restos du Coeur ici à Orléans, le 26 mars 2020.
Christophe ARCHAMBAULT / AFP
Le combat contre le Covid-19 redonne à l’État un rôle central légitime, mais la France ne pourra pas résister efficacement sans la mobilisation de la société civile.
Personnes dormant dans les couloirs du RER Châtelet les Halles, Paris, 10 janvier 2020.
Martin BUREAU / AFP
Certaines caractéristiques sociales protègent les personnes contre la possibilité d’être sans-domicile, empêchant de se retrouver à la rue en se mettant à l’abri des incertitudes.
Un médecin de l'Association Médecine et Droit d'Asile examine un patient réfugié le 2 avril près de Lyon.
JEFF PACHOUD / AFP
La mendicité n’est pas une activité passive qui consiste à passer le temps, mais d’une forme active d’engagement qui est souvent réfléchie afin de survivre.
Aider commence aussi par un ‘bonjour’ ou un sourire.
Eric Pouhier/Wikimedia
La micro-politique de l'autruche, l'indifférence que nous portons à nos semblables dans l'espace public engendre parfois des drames que nous pourrions éviter.
Des familles attendent d'être évacuées sous le regard de la police, après que leur camp ait été détruit par les autorités, parc de La Villette à Paris, le 28 aout 2019.
Martin BUREAU / AFP
Les villes, premier point d’accueil des migrants, demandeurs d’asile et réfugiés sont-elles habilitées à agir contre les incohérences de la politique migratoire européenne ?
La bagagerie mise en place par l'association Mains Libres répond à un vrai besoin en vue de la réinsertion des personnes à la rue.
Mains Libres
On dit qu’il est bon d’associer les personnes aux choix qui les concernent, principe souvent appliqué mollement. À la bagagerie pour SDF Mains Libres, on ne transige pas, avec des résultats étonnants.