Faire un travail de rééducation dans un environnement de réalité virtuelle immersif pourrait aider à améliorer l’équilibre et, par exemple, prévenir les chutes chez des personnes âgées.
L’équitation adaptée, une alliée de la kinésithérapie ? Le travail avec le cheval permet en effet de solliciter muscles et sens de l’équilibre. Un atout réel en rééducation, notamment après un AVC.
Aider à la récupération du langage, de la marche, à gérer certains troubles du mouvement… Les études se multiplient pour prouver les effets de la musique. Et les expliquer au niveau neurologique.
Ahlem Zaghmi, Institut national de la recherche scientifique (INRS) et Marc A Gauthier, Institut national de la recherche scientifique (INRS)
Un nouveau traitement pourrait permettre de préserver les capacités motrices des patients qui ont subi un AVC. Il pourrait changer les stratégies médicales pour d’autres maladies neurodégénératives.
Si le rôle essentiel du cerveau ne fait aucun doute, la plupart des gens en savent bien peu à son sujet. Saviez-vous, par exemple, qu'environ 20 % du volume sanguin de notre corps y est consacré?
Le contrôle du trafic dans le cerveau est capital : plus l’information y transite rapidement, plus ses différentes zones coopèrent pour permettre le bon fonctionnement de la mémoire, entre autres.
Les accidents vasculaires cérébraux sont en augmentation. Si le vieillissement, le tabagisme ou l’hypertension sont pointés du doigt, la question de l’influence du temps de travail est aussi explorée.
La Covid-19 soulève des craintes quant aux risques associés à la prise de médicaments pour traiter l'hypertension. Mais des chercheurs émettent plutôt l'hypothèse qu'ils seraient bénéfiques.
Consommer trop de protéines animales accroit les risques de développer un large éventail de maladies chroniques en raison des acides aminés contenus dans la viande, révèle une étude.
Lors d’une opération chirurgicale pour éliminer une tumeur cérébrale, certaines zones du cerveau sont altérées mais la plasticité de cet organe permet la récupération des fonctions impactées.
La consommation modérée d’alcool expliquerait le « French paradox ». Débattue, parfois âprement, depuis de nombreuses années, l’existence de cet effet protecteur est désormais battue en brèche.
Les données médico-administratives enregistrées à chaque hospitalisation sont une mine d’information. Leur analyse peut rendre le système de santé plus efficient et améliorer les soins.
Les antidouleurs, premiers médicaments consommés par les Français, doivent rester accessibles. Il faut pour cela en assurer le bon usage pour en réduire les risques.
Manger mieux, bouger plus, ne pas fumer… Les recommandations pour éviter les maladies cardiovasculaires semblent évidentes. Pourtant, les facteurs de risque n’ont été identifiés que très récemment.
Plusieurs études solides montrent que les différentes formes de démences chez les personnes âgées sont sur le déclin. La hausse du niveau d’éducation pourrait en être l’explication.
La question de la fin de vie se pose d’une façon particulière pour les personnes ne donnant pas de signe objectif de conscience. Une médecin spécialisée tente de situer la limite du traitement abusif.
Quand un accident endommage la moelle épinière, nous pouvons perdre l’usage de nos membres. Les scientifiques savent faire repousser les fibres nerveuses mais le chemin vers un traitement reste long.
Professeur des universités, médecin hospitalier, Inserm 1107, CHU Clermont-Ferrand, Président de la Fondation Institut Analgesia, Université Clermont Auvergne (UCA)
Research Associate Professor of Epidemiology at CRESS - EREN (Inrae, Inserm, Université Sorbonne Paris Nord, Université Paris Cité), and head of the NACRe network (Réseau NACRe), Inserm