L’entreprise a pour ambition de devenir à terme une « B. Corp » à 100 %, une certification traduisant sa volonté de créer de la valeur en la partageant notamment avec les salariés.
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Le groupe agroalimentaire, dont une partie des activités est certifiée « B Corp », a annoncé vouloir supprimer jusqu’à 2 000 emplois dans le monde pour améliorer sa rentabilité.
Les entreprises qui laissent les employés prendre les décisions à la place des dirigeants prouvent que l’on peut allier plus de liberté et plus de performance.
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Une série d’entretiens montre que les dirigeants qui autonomisent leurs équipes sont davantage enclins à placer la mission de l’organisation au cœur de leurs décisions.
Dans ce contexte, la loi Pacte et la définition d’une « raison d’être » se révèlent peu efficaces pour éclairer la prise de décision des dirigeants.
La paix économique est « une orientation pour laquelle une entreprise (…) créent de la richesse au profit du bien commun et de l’épanouissement de l’ensemble des parties prenantes dans le cadre plus vaste de leur responsabilité sociale et humaine » selon Dominique Steiler.
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Contrairement aux compétences individuelles, les compétences collectives se développent peu dans les organisations. Ces dernières sont pourtant clés pour pacifier les relations entre organisations.
Avec la loi Pacte, publiée le 23 mars 2019, l’entreprise doit définir son rôle au-delà de la sphère économique.
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La raison d’être invite au rassemblement et à la cohésion collective pour relever les défis du monde contemporain. Ne pas en tenir compte, c’est passer à côté d’enjeux majeurs.
La loi Pacte aurait pu capitaliser sur le modèle de l’ESS défini dans la réglementation depuis 2014 pour créer plus de synergies.
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Les promulgations successives de la loi sur l’Économie sociale et solidaire en 2014 puis de la loi Pacte en 2019 qui introduit le modèle d’entreprise à mission interrogent.
L’introduction de dispositifs de participation conduirait à des gains de productivité de l’ordre de 2 % en moyenne.
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Si leur impact reste globalement positif, l’efficacité des dispositifs partage des bénéfices dépend de paramètres comme le contexte institutionnel ou la présence de syndicats.
Quelque 181 PDG des plus grandes entreprises américaines se sont engagés en faveur d'un « capitalisme des parties prenantes », le 19 août dernier.
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L’engagement des grandes entreprises américaines de réorienter leur activité en faveur de l’ensemble de leurs parties prenantes reprend des préconisations formulées par la théorie dès les années 1970.
Apple s'est engagé à se mettre au service « des Américains », même si la firme de Tim Cook assume dans le même temps qu’une fabrication de l'iPhone aux États-Unis ne serait pas une option viable.
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Dans ce nouvel épisode, Albert David (Paris-Dauphine) et Armand Hatchuel (Mines ParisTech) interviennent sur les thèmes des rationalités créatrices et de la nouvelle entreprise.
En cas d'offre publique de rachat, une entreprise peut convoquer une assemblée générale extraordinaire pour modifier rapidement les statuts et opposer aux intitiateurs une incompatibilité avec la raison d'être dont se sera dotée l'entreprise.
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Cette notion introduite dans la loi Pacte permet aux entreprises de se doter indirectement d’un nouvel argument pour résister aux éventuelles tentatives d’OPA hostiles.
L'activité de la FDJ, pour laquelle la voie de la privatisation a été ouverte par la loi Pacte, affiche une progression constante.
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Plus que l’État ou les joueurs, ce sont les actionnaires historiques qui détiennent une part réduite du capital qui ont le plus à perdre en cas de fin du monopole.
« Fenêtres Ouvertes sur la Gestion » : les émissions de la lettre du 18 mai 2019.
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Retrouvez les invités de Jean‑Philippe Denis, professeur à l’Université Paris-Sud et rédacteur en chef de la RFG. À la une cette semaine, « l’entreprise et le droit : où en est-on ? »
« Fenêtres Ouvertes sur la Gestion » : les émissions de la lettre du 27 avril 2019.
Retrouvez les invités de Jean‑Philippe Denis, professeur à l’Université Paris-Sud, Paris-Saclay et rédacteur en chef de la RFG. À la une cette semaine, « la nouvelle doctrine de Bercy ».
L'éventuelle privatisation d'ADP suscite de vives critiques.
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La création d’un pôle infrastructures incluant des entreprises de transport structurellement bénéficiaires pourrait permettre de réconcilier les objectifs étatiques de court et long terme.
On compte aujourd’hui presque 3 millions de travailleurs indépendants en France.
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Si les activités en freelance permettent d’améliorer le sentiment de bien-être professionnel, elles peuvent aussi être source de dégâts sur l’individu.
De nombreux « gilets jaunes » demandent la suppression du Sénat, qui a pourtant encore les cartes en main pour faire évoluer la loi Pacte.
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Xavier Hollandts, Kedge Business School et Nicolas Aubert, IAE Aix-Marseille Graduate School of Management – Aix-Marseille Université
Les dispositions visant à favoriser la participation des salariés aux bénéfices qui figurent dans la loi Pacte seront débattues à la Haute assemblée en janvier.
La gouvernance des entreprises subit tout un ensemble de mutations qui font que les directions sont parfois amenées à les conduire de manière insoutenable.
Le conseil d’administration de Nissan a révoqué Carlos Ghosn de son poste de président, jeudi 22 novembre.
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Malgré ses succès, le dirigeant de Renault était contesté pour ses méthodes. Son arrestation, le 19 novembre au Japon, relance le débat sur le système de gouvernance des entreprises françaises.
Professeur d'économie et de management, Directeur de la Recherche de l’IRIMA, Membre de la Chaire Mindfulness, Bien-Etre au travail et Paix Economique, Grenoble École de Management (GEM)
Chercheur associé au Laboratoire d’économie dyonisien et à l’Institut de Recherche en Gestion, Université Paris-Est, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Professeur de management - Chercheur au GREQAM AMSE - Titulaire de la Chaire AGIPI KEDGE « Le travail indépendant et les nouvelles formes d'entrepreneuriat », Kedge Business School