Nos yeux n’ont pas besoin de mode d’emploi pour fonctionner. Mais quels processus sont à l’œuvre ? Et que pouvons-nous apprendre des yeux d’autres espèces vivantes ?
Le caméléon de Voeltzkow a été redécouvert à Madagascar en 2018.
Martin Mandák/iNaturalist
Il existe des centaines d’espèces disparues à travers le monde et leur nombre augmente de décennie en décennie. Pourquoi certaines espèces sont redécouvertes, alors que d’autres ne le sont pas ?
Pour boire, les dauphins mangent des poissons.
Oleksandr Sushko / Unsplash
Nicolas Séon, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN); Peggy Vincent, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN), and Romain Amiot, Université Claude Bernard Lyon 1
Qu’ils vivent dans l’eau douce ou salée, les dauphins ne peuvent pas directement boire pour s’hydrater, mais se servent de leur nourriture.
La biodiversité est globalement menacée sur Terre.
Kazakova Maryia/Shuutterstock
Julien Blanco, Institut de recherche pour le développement (IRD) and Sarah Paquet, Institut de recherche pour le développement (IRD)
La biodiversité est menacée sur notre planète. Au-delà des services indispensables qu’elle nous rend, il est crucial de la préserver, car elle contribue à notre identité et a le droit d’exister.
Une sole d'Esope, Soleichthys heterorhinos, rampant avec ses nageoires sur le fond sablonneux, en Égypte.
prilfish, Flickr
La grande majorité des animaux s’occupent de leurs petits, surtout les femelles, parfois les mâles. Sommes-nous des parents-animaux comme les autres ?
Les adaptations que les ours devront déployer pour faire face aux défis imposés par les changements climatiques sont multiples et imprévisibles.
(Shutterstock)
Des chercheurs ont fait une observation fascinante : un ours polaire a employé une technique de chasse en plongée, encore jamais rapportée, pour capturer de grandes oies des neiges en mue.
La quête de l’humain pour trouver le compagnon canin idéal a donné naissance à plus de 400 races, chacune dotée d’une combinaison unique de caractéristiques physiques et comportementales.
(Shutterstock)
Saviez-vous que les animaux qui nous entourent aujourd’hui en Europe viennent majoritairement d’Asie ? Une nouvelle étude vient expliciter les mécanismes derrière cette évolution.
Une pancarte notifiant le début d'une zone de quarantaine à Virton, en Belgique, en 2018, année durant laquelle le pays a fait face à une épidémie de peste porcine africaine.
Jean-Christophe Verhaegen / AFP
Frédéric Keck, Auteurs historiques The Conversation France
Pour protéger les élevages de la peste porcine africaine, les autorités européennes visent à l’éradiquer. Des mesures coûteuses et radicales, dont l’efficacité n’est pas assurée.
Les toxines issues de la pollution s’accumulent dans le corps des épaulards par l’intermédiaire des petits poissons qu’ils consomment.
(Audun Rikardsen)
L’accumulation de polluants synthétiques dans la graisse des orques nuit à la santé de ces mammifères marins. Il est urgent d’agir pour résoudre ce problème.
Peut-on imaginer une autre relation avec les animaux qui nous entourent ?
Daniel Cano/Unsplash
Et si on prenait en compte les autres animaux dans notre façon de vivre et de penser ? La zooinclusivité s'adresse à celles et ceux qui ne veulent pas laisser les animaux sur le bord du chemin.
Le majestueux Saint-Laurent, joyau à l'importance économique, historique et environnementale, nous rappelle la nécessité de préserver cet écosystème essentiel.
(Ludovic Pascal)
Une nouvelle recherche montre que les babouins sont capables de coopérer et de choisir les partenaires qui leur permettront de recevoir un équivalent à ce qu’ils ont pu donner.
L'humain est-il vraiment assis sur la plus haute branche du règne animal ?
Stéphane Deprée
Qu’est-ce qui rend notre espèce humaine unique au sein du royaume du vivant ? Des travaux scientifiques récents montrent que la frontière entre l’humain et le non-humain est bien plus fine qu’on le pense
Vivre avec un animal a des effets qui sont longtemps restés insoupçonnés.
Smolina Marianna / Shutterstock
Vivre avec des animaux peut être très enrichissant, en particulier pour les enfants. En effet, la relation qu’ils développent avec leurs compagnons à quatre pattes s’avère source de bénéfices variés.
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)
Professeur de psychologie sociale, membre honoraire de l’Institut universitaire de France (IUF), directeur de la MSH Alpes (CNRS/UGA), Université Grenoble Alpes (UGA)
Directeur de recherche CNRS, systématicien, directeur de l’Institut de systématique, évolution, biodiversité (ISYEB), Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Directrice, Direction de la Recherche et des Etudes Doctorales (DRED), Université Paris Nanterre, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières