La décontamination des sols a-t-elle porté ses fruits à Fukushima ? Oui, là où elles ont pu être menées. Mais il reste encore 67 % du césium 137 initial dans le sol des forêts, répond une nouvelle étude.
Image satellite après les inondations catastrophiques qui ont frappé la ville de Derna.
Photo : Maxar Technologies/Getty Images
Il y a 90 ans, le paquebot « Georges Philippar » coulait dans le golfe d’Aden. Parmi les dizaines de victimes : le journaliste Albert Londres. Une tragédie porteuse d'enseignements très actuels…
Blocage de la Salle Pleyel le mercredi 25 mai tandis que devait se tenir l'assemblée générale des actionnaires de TotalEnergies. Les militants sont intervenus à l'appel d'associations comme Greenpeace, Alternatiba Paris, ANV – COP21 ou encore les Amis de la Terre,appelant à un retrait de Russie et à cesser toute activité écocidaire.
Bertrand Guay/ AFP
Pour ne pas aggraver la vulnérabilité contemporaine, il nous faut lutter contre la rupture mémorielle qui conduit à qualifier chaque nouveau drame de « jamais vu ».
La radioactivité résiduelle à Tchernobyl reste forte par endroit, d'où l'instauration d'une zone d'exclusion vierge de toute présence humaine permanente (zone de la Forêt rouge).
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Si la centrale de Tchernobyl n’est plus en fonction, elle est au cœur d’une zone toujours très irradiée que les mouvements de troupes peuvent déstabiliser. Avec quels effets pour la population ?
Des Afghans reçoivent du pain dans le cadre de la campagne «Sauver les Afghans de la faim», à Kaboul, en janvier 2022.
Wakil Kohsar/AFP
Première victime du jeu des puissances, le peuple afghan est sous la menace d’une insécurité alimentaire majeure, héritage de 45 ans de conflit et d’ingérence internationale.
Le port de Beyrouth après les explosions.
Wael Hamzeh/EPA
Pour qu’il y ait combustion, il faut de l’oxygène. Les granulés de nitrate d’ammonium fournissent un apport d’oxygène beaucoup plus concentré que l’air qui nous entoure.
Les survivalistes aussi connus sous le nom de « preppers » se préparent à des catastrophes majeures voire même à l'effondrement de notre civilisation industrielle.
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Réseaux sociaux et influenceurs, « storytelling », salons dédiés… l’essor du mouvement repose sur certaines pratiques loin d’apparaître comme hors système.
Dans son dernier rapport sur le monde en 2035, le renseignement américain évoquait « l’épidémie mondiale de 2023 ». Une spéculation féconde pour le rétroprospectiviste.
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Cette discipline analyse les relations entre une hypothèse qui s’est réalisée et les éléments qui ont amené à cette prédiction. « Le monde en 2035 vu par la CIA » est en ce sens riche d’enseignement.
Campagne de sensibilisation aux dangers du Covid-19 par la police indonésienne.
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Le cygne noir, c’est l’inconnu inconnu. Avec le Covid-19, il nous faut apprendre à accepter les incertitudes et à s’inspirer, pourquoi pas, des techniques militaires.
Panneau d'information à Mulhouse, le 6 mars, une semaine avant que la France décide d'un confinement général.
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Fabrice Flipo, Institut Mines-Télécom Business School
La pandémie, en ce qu’elle représente un risque majeur donc exceptionnel, appelle une réponse construite collectivement, et non pas par un petit groupe d’experts ou de décideurs.
À ce jour, 648 « cat bonds » ont été émis depuis 1997. Un chiffre qui pourrait décoller avec la crise sanitaire actuelle.
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Le contexte favorise l’intérêt pour ces produits financiers, controversés, qui fournissent une protection en cas de catastrophe majeure en échange d’une rémunération souvent élevée.
Dans ‘Bienvenue à Zombieland’ (2009), les protagonistes doivent affronter les zombies et apprendre à s'entendre, et si on remplaçait zombie par coronavirus?
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Les peurs, plus que le coronavirus lui-même, se propagent, stimulées par notre consommation de films où règnent les zombies. Pourquoi ne pas écouter ce qu’ils ont à nous dire sur notre propre humanité ?
L'eau est montée jusqu'à 1,87 mètre dans la ville italienne, le 12 novembre dernier.
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Les promesses de dons ont rapidement atteint un milliard d’euros après l’incendie de la cathédrale parisienne en avril, contre quelques millions après l’inondation de la cité des Doges en novembre.
La mini-série de dix épisodes retrace la catastrophe nucléaire survenue en 1986 à Tchernobyl, en URSS.
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La série défend l’idée selon laquelle la catastrophe nucléaire de Tchernobyl n’aurait pas pu se produire ailleurs. Une thèse qui s’appuie sur des fondements historiques très contestables.
Le 4 juin dernier, des activistes de l’ONG environnementale ANV-COP21 ont organisé un die-in devant l’Assemblée Nationale à Paris.
Stéphanie de Sakutin/AFP
Pour que l’urgence écologique résonne davantage, il faut ancrer l’action dans le présent et non dans un futur perçu comme inaccessible.
Vue de la centrale nucléaire de Tchernobyl, en Ukraine, prise le 4 mai 2017, et du bâtiment de confinement installé sur le réacteur numéro 4.
Germán Orizaola
Trente-cinq ans après l’accident, Tchernobyl abrite une faune et une flore diversifiées, passant du statut de désert pour la vie à celui de zone d’intérêt pour la conservation de la faune.