Pierre Berthelet, Université de Pau et des pays de l'Adour (UPPA)
Lors de chaque attaque terroriste, Schengen, en tant qu’espace de libre circulation, est pointé du doigt par la candidate du Front national. Un discours qui va à l’encontre de la réalité.
Les candidats à la présidentielle proposent des solutions simplistes et privilégient l’action sur la réflexion. Ils cèdent à la « stupidité », une culture qui se diffuse dans la société actuelle.
Diana Cooper-Richet, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Gibraltar se trouve au centre d’une polémique avec l’Union européenne (et l’Espagne) après la décision du Brexit. Analyse de l’enjeu de cette polémique.
D’où vient ce malaise qui entoure la construction européenne ? Comment expliquer ce sentiment des peuples selon lequel la libre circulation vient éroder la cohésion nationale ?
L’agenda proposé est clair et déterminé, le Président propose un changement fort pour le pays, il annonce la fin de l’Obamacare, le début de la dérégulation, une grande réforme des impôts.
Pour Donald Trump, peu importe si les migrations sont moins importantes qu’auparavant, l’efficacité de la militarisation, douteuse et la frontière, déjà blindée. L’effet d’annonce prime.
Environ 360 000 personnes vivant en France ont un emploi dans un pays voisin. La Lorraine, qui partage ses frontières avec trois pays, est très concernée par le travail frontalier.
Sa construction représente un enjeu économique majeur pour le secteur de la défense et de la sécurité. Et un levier économique non négligeable pour le nouveau président américain.
Marie-Cécile Naves, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières
Adepte de la provocation permanente, le candidat républicain en a fait l’un de ses chevaux de bataille. À coups de statistiques fantasques et de discours à l’emporte-pièce. Mais avec un certain écho.
Pierre Berthelet, Université de Pau et des pays de l'Adour (UPPA)
Crise des migrants, attentats de Paris : l’Union européenne est décidée à mieux contrôler les mouvements en son sein. Mais les États membres ont du mal à renoncer à leur souveraineté en la matière.
Construction de murs, contrôle des mers, rétention dans des camps : les Européens ont tout tenté pour dissuader les migrants de traverser la Méditerranée. Il est urgent de changer de stratégie.
Maitre de conférences en Sciences de l’Information et de la Communication habilitée à diriger des recherches à l'Institut de Journalisme Bordeaux Aquitaine (IJBA), Université Bordeaux Montaigne
Chercheur au Centre d’histoire culturelle des sociétés contemporaines, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay