À la suite du gigantesque incendie qui a touché l’agglomération rouennaise en 2019, on peut tirer de multiples leçons pour une meilleure prévention et gestion des risques industriels en France.
Panneau d'information à Mulhouse, le 6 mars, une semaine avant que la France décide d'un confinement général.
SEBASTIEN BOZON / AFP
D’une légère incommodité à une hospitalisation voire un décès, notre alimentation peut présenter des risques et des dangers. Comment bien définir ces deux notions avec différents exemples concrets ?
Le 26 septembre 2019, une fumée noire provoquée par l’incendie de l’usine Lubrizol s’élève dans le ciel de Rouen.
Philippe Lopez/AFP
À la suite de l’incendie de l’usine Lubrizol, la couverture qu’en ont fait les médias interroge sur leur responsabilité dans ces situations d’incertitude.
L'objectif du « zéro défaut » recherché par les avionneurs les détourne de la réflexion sur la gestion de crise en cas de problème.
Steve Mann / Shutterstock
Les organisations de « haute fiabilité » que l’on retrouve dans la chimie ou l’aéronautique se focalisent tellement sur la limitation des risques qu’elles sont désemparées lorsqu’un problème survient.
Ouvriers sur le site de Lubrizol à Rouen, en 2013.
LOU BENOIST / AFP
La manière dont la gestion de crise est conçue et organisée en France n’a pas évolué.
Les conséquences de l'effondrement du barrage de Brumadinho, qui a eu lieu le 25 janvier 2019 dans l'État de Minas Gerais, au Brésil.
Vinícius Mendonça/Ibama