Les peurs, plus que le coronavirus lui-même, se propagent, stimulées par notre consommation de films où règnent les zombies. Pourquoi ne pas écouter ce qu’ils ont à nous dire sur notre propre humanité ?
La perturbation des chaînes d’approvisionnement et des marchés internationaux va influencer durablement les entreprises et les États dans leurs choix économiques stratégiques.
Le SARS-CoV-2 continue à circuler en France. Si ce nouveau coronavirus est bénin dans la grande majorité des cas, comment sont soignés les patients vulnérables qui développent des pneumonies sévères ?
Certes, la progression de l’épidémie de coronavirus est préoccupante. Mais il faut rester optimiste. En effet, jamais l’humanité n’a été aussi bien préparée à affronter une pandémie.
Les publicités pour les bières cherchent généralement à instaurer une représentation forte de la marque en un seul mot. Une stratégie à double tranchant, comme l’illustrent les déboires de Corona.
L’allongement et la complexification des chaînes logistiques ont entraîné une multiplication des risques de rupture d’approvisionnement, comme l’illustre l’épidémie actuelle.
La mortalité due au coronavirus SARS-Cov-2 augmente-t-elle ? Pourquoi l’OMS ne parle-t-elle pas de pandémie ? Que sait-on de l’efficacité de la chloroquine ? Les réponses d’Éric D’Ortenzio.
L'adoption à grande échelle d'actions simples et individuelles - comme la désinfection des écrans de nos téléphones et se laver les mains - peut limiter la capacité de COVID-19 à se répandre.
En cas d’épidémie, les entreprises doivent mettre en place des plans de continuité d’activité. Elles ont aussi un rôle à jouer dans la prévention et la surveillance.
Les thèses conspirationnistes affirmant que le coronavirus serait d’origine militaire naissent du secret absolu qui entoure les programmes d’armes biologiques conduits par divers États dans le monde.
La menace d'une pandémie mondiale de Covid-19 force la science à devenir de plus en plus ouverte. Cette transparence transforme le travail des scientifiques et pourrait changer le monde.
Enfant, on est souvent enrhumé, parce que notre système immunitaire n’a pas rencontré assez de virus pour apprendre à s’en défendre. Mais on peut aussi s’enrhumer adulte au contact d’un nouveau virus.
Peur, repli sur soi, instabilité politique, désordres sociaux, entrave à la circulation… Les conséquences d’une épidémie d’ampleur ne se limitent pas au domaine sanitaire. Comment y faire face ?
Géraldine Veron, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Une équipe de scientifiques chinois suspecte le pangolin d’être un hôte intermédiaire du Covid-19 entre les chauves-souris et l’humain. Quels éléments avons-nous pour juger de cette affirmation ?
Mis en place après l’avènement de la République populaire, le système de santé chinois a pâti de l’ouverture économique. En 2003, le SRAS a contraint les autorités à le réformer. Est-ce suffisant ?
Rodolphe Gozlan, Institut de recherche pour le développement (IRD) and Soushieta Jagadesh, Institut de recherche pour le développement (IRD)
Ebola, Nipah, SRAS, fièvre de Lassa, Covid-19, Zika… Transmises par les animaux, ces dangereuses maladies ont toutes émergé récemment. Pourquoi ? Une future épidémie d’ampleur est-elle à craindre ?
Maître de conférences en épidémiologie et évolution des maladies infectieuses, laboratoire PCCEI (Univ. Montpellier, Inserm, EFS) & CHU Nîmes, Université de Montpellier
Professeur, département Méthodes quantitatives en santé publique (METIS), Univ. Rennes, EHESP, CNRS, Inserm, Arènes - UMR 6051, RSMS – U 1309, École des hautes études en santé publique (EHESP)
PU-PH, Professeur de Pédiatrie, Inserm UMR 1069 "Nutrition, Growth Cancer" & Inserm F-CRIN PEDSTART, Institut Européen de l'Histoire et des Cultures de l'Alimentation,Université de Tours, CHU de Tours, Inserm
Directeur de Recherche au CNRS et directeur de l'équipe Écologie et Évolution de la Santé au Centre interdisciplinaire de recherche en biologie (CIRB) UMR CNRS 7241 – U1050 Inserm – Collège de France, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)