Catherine Pourquier (Burgundy School of Business) vous propose trois exercices de pleine conscience à faire où et quand vous le souhaitez pour vous apaiser.
Podcast : Trouver la sécurité intérieure pour partager son amour
Ouvrir la cage thoracique grâce à la respiration de pleine conscience permet de développer un sentiment de bienveillance à l’égard de soi-même et des autres.
Podcast : Mieux respirer pour mieux réguler ses émotions
La respiration profonde par le ventre constitue une porte d’entrée vers l’état de pleine conscience et permet dans l’instant présent de se reconnecter avec son corps et ses émotions.
Les femmes enceintes présentent plus de symptômes anxieux et dépressifs depuis le début de la pandémie et cela pourrait affecter le développement du fœtus.
Une étude relève une hausse sensible du nombre de personnes buvant seules pendant le confinement, notamment chez les hommes à revenus modestes et sans-emploi.
Au-delà de la fragilité immunitaire qui caractérise certains patients atteints de troubles psychiatriques, l'épidémie et les mesures de distanciation ont des effets délétères sur la santé mentale.
À l’échelle des organisations, le stress peut produire des effets positifs. Il incombe alors aux dirigeants d’apprendre à le canaliser et à mieux le gérer.
La comparaison du confinement à l’incarcération semble s’accompagner d’un aveuglement aux profondes inégalités parmi les situations de confinement et ce qu’elles recouvrent.
Comme le nourrisson qui en situation de carence affective peut tomber dans un grave état dépressif, la personne âgée malade et ne recevant plus de visites risque de souffrir d’un dangereux syndrome.
Stéphane Vial, Université du Québec à Montréal (UQAM)
La pertinence des technologies numériques en santé mentale n’a jamais paru si grande. Toutefois, bon nombre n'ont pas fait leurs preuves scientifiquement et leur efficacité reste à démontrer.
La vie en prison est une question de routine : chaque journée est identique à la précédente, chaque semaine également, de sorte que les mois et les années se fondent les uns dans les autres.
Tegwen Gadais, Université du Québec à Montréal (UQAM) and Paquito Bernard, Université du Québec à Montréal (UQAM)
La crise de le Covid-19 entraîne des [confinements qui modifient radicalement notre quotidien. Pour passer à travers, il est important de demeurer actif et de conserver un mode de vie sain.
Alors qu’on pourrait s’attendre, avec le confinement, à une montée de l’individualisme, on observe au contraire une capacité à développer de nouvelles façons d’être en présence d’autrui.
Des mesures de confinement de plus en plus strictes face au coronavirus. ont été annoncées. Pourtant, ces appels basés sur la peur ont été peu entendus. Qu’en disent les sciences du comportement ?
Selon les études qui portent notamment sur la vie dans les sous-marins, garder un rythme de vie planifié ou encore accepter les pics de stress permet de préserver son calme.
Angela Sutan, Burgundy School of Business and Romain Espinosa, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Selon les recherches en économie comportementale, de nombreux individus tendent à adopter des comportements de « passagers clandestins » en l’absence de sanctions fortes.
Chercheur en sciences sociales et épistémologie de la santé mentale au Centre de recherche médecine, sciences, santé, santé mentale, société (CERMES3), Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Psychiatre du sujet âgé, chercheur associé au Laboratoire interdisciplinaire d'étude du politique Hannah Arendt (Université Paris-Est Créteil), co-directeur du département de recherche Éthique biomédicale du Collège des Bernardins, Collège des Bernardins