La consommation modérée d’alcool expliquerait le « French paradox ». Débattue, parfois âprement, depuis de nombreuses années, l’existence de cet effet protecteur est désormais battue en brèche.
Le sexisme dans la recherche cardiovasculaire conduise à une méconnaissance de la crise cardiaque chez les femmes. Elles profitent moins des thérapies, interventions et possibilités de réadaptation.