L’inclusion des salariés passe aussi par l’architecture, notamment pour les personnes neuro-atypiques. Les espaces de travail sont des atouts, comme l’ont compris des entreprises nord-américaines.
Aujourd’hui, seule une entreprise sur dix se préoccupe de l’inclusion de la neurodiversité.
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Les personnes atteintes de dyslexie ou encore d’autisme, malgré leurs compétences reconnues, restent victimes de discriminations sur le marché du travail.
Selon la théorie de la neurodiversité, les différences peuvent être utilisées comme une force pour les entreprises.
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Nous vivons à une époque où la différence est de plus en plus perçue comme une force plutôt qu’une faiblesse. Cependant, certains types de diversité restent largement méconnus et sous-valorisés.
Mieux prendre en compte les rythmes biologiques de chacun et adapter l'organisation du travail en fonction pourrait changer la vie en entreprise.
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Les différences de conditions biologiques produisent des écarts en termes de capacité de travail : n’est-il pas temps de mieux les prendre en considération ?
Les salariés atteints du syndrome d'Asperger connaissent des taux de chômage qui peuvent atteindre 80 à 90%.
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Les employeurs ont longtemps mis à l’écart les personnes qui présentent des « déficits persistants dans la communication sociale ». Elles présentent pourtant d’excellentes qualités professionnelles.
Enfants et adultes, environ 500 000 personnes sont concernées par l'autisme en France.
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Les scientifiques ont identifié plus de 200 gènes associés à l’autisme. Le point sur les causes génétiques, à l’occasion de la journée mondiale de sensibilisation à ce trouble neurodéveloppemental.
Les idées défendues par les personnalités atypiques favorisent la survie de l'espèce. Chez l'Homme, comme chez le crapaud.
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Les individus atypiques rencontrent des difficultés pour se faire entendre. Objet d’étude scientifique, le fonctionnement de leur cerveau commence pourtant à livrer ses secrets.