On peut être en état de conscience minimale et conserver une capacité de réagir, mentalement, au langage. Ce constat pourrait être crucial dans l’évaluation, complexe, des patients en sortie de coma.
Quelle est la situation sanitaire et hospitalière en France alors que le pays passe de Delta à Omicron ? Comment ont évolué prise en charge et traitement ? L'analyse de l'infectiologue Karine Lacombe.
Certains refusent la vaccination anti-Covid-19 au nom de la liberté personnelle. Les conséquences de ce choix justifient-elles de leur refuser l’accès aux soins de réanimation s’ils tombent malades ?
Si dans la plupart des cas, l’infection par le SARS-CoV-2 ne provoque que des symptômes modérés, voire aucun symptôme, certains malades font des pneumonies fatales. On commence à comprendre pourquoi.
Comment évalue-t-on le niveau de conscience de patients plongés dans le coma ? Par leurs réactions oculaires, verbales, motrices, réflexes, mais aussi par la mesure de l’activité de leur cerveau.
Face à la pandémie, le nombre de lits de réanimation disponibles détermine grandement les mesures prises. Et la Théorie des contraintes (T0C) pourrait aider à mieux gérer cette crise sanitaire.
L’impression d’étouffer, les urgences, la quarantaine, les symptômes persistants… Les épreuves traversées par les malades de la Covid-19 hospitalisés ont bouleversé leur équilibre psycho-émotionnel.
La question de la fin de vie se pose d’une façon particulière pour les personnes ne donnant pas de signe objectif de conscience. Une médecin spécialisée tente de situer la limite du traitement abusif.
Professeur des Universités en sciences de gestion - Titulaire de la chaire de recherche "santé et territoires" - IAE, Université Clermont Auvergne (UCA)
Professeur de Neurochirurgie, neurochirurgien, chercheur (CHU d'Angers, Inserm U1232-CRCINA) et auteur (Voyage du cerveau gauche au cerveau droit. EDP Sciences 2021- Imaginer le monde de demain dir Xavier Pavie, Maxima 2021), Université d'Angers