« Bataille de cavaliers arabes autour d’un étendard », tableau orientaliste du peintre français Théodore Chassériau, daté de 1854, reflète une vision occidentale du djihad, perçu comme dans sa dimension guerrière. Ce n’est cependant pas la seule acception du terme.
Dallas Museum of Art
Concept admettant de nombreuses définitions parfois contradictoires entre elles, le djihad n’est pas une notion facile à appréhender. Un récent ouvrage retrace sa longue histoire.
L’activiste et politicien dano-suédois Rasmus Paludan pendant un autodafé du Coran devant l’ambassade de Turquie à Stockholm le 21 janvier 2023.
Tobias Hellsten/ToHell.Wikipedia
En Suède, des activistes très hostiles à l’islam brûlent des Corans en public, ce qui vaut au pays des critiques véhémentes venues des pays musulmans mais aussi des menaces terroristes très réelles.
Le littéralisme s'est répandu au-delà des textes sacrés.
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Il existe deux façons de se référer au texte : lui obéir à la lettre ou l’interpréter. La première semble étendre son influence bien au-delà sphère religieuse, en particulier aux États-Unis.
Salman Rushdie à Londres en 2017.
Grant Pollard/AP
Depuis la publication des « Versets sataniques », Rushdie affirme que les textes religieux devraient être ouverts à la discussion et à la contestation.
Manuscrit persan du Moyen Âge représentant le prophète Mahomet conduisant Jésus, Moïse et Abraham à la prière.
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