L’usage d’un outil de mesure de la participation citoyenne, le Participomètre, montre que les Français souhaitent, peut-être aujourd’hui plus que jamais, participer pleinement à la vie politique.
A Roissy, dans le nord de Paris (ici en 2018). Le recours au RIP vise la privatisation d'Aéroports de Paris.
Eric Piermont / AFP
Claude Patriat, Auteurs historiques The Conversation France
Il s’agit de contester l’action de la majorité parlementaire, la minorité utilisant le détour référendaire pour faire prévaloir un point de vue qu’elle n’a pu imposer dans la procédure normale.
Le Président Macron lors d'une réunion avec les maires de Bretagne à Saint-Brieuc, le 3 avril 2019.
Damien Meyer/AFP
Le gouvernement risque d’être coincé entre le fait de décevoir un mouvement de contestation puissant et s’engager dans une politique de réforme institutionnelle allant bien au-delà de ses projections.
A Nantes, le 5 janvier 2019, un manifestant réclame la mise en place du référendum d'initiative citoyenne. Une «fausse bonne idée», selon l'auteur.
Loïc Venance/ AFP
il y a urgence absolue à admettre que l’expression de la démocratie par le seul vote a vécu et qu’il faut véritablement instaurer davantage de participation et de délibération dans la vie politique.
La participation politique s'inscrit aussi dans la culture populaire ou dans des pratiques de démocratie participative tel que le tirage au sort.
En ces moments de rupture sociétale peut-on questionner la démocratie représentative ? Et comment ?
Des manifestants brandissent un paneau ‘referendum d'initiative citoyenne’ une revendication qui a émergé et pris de l'ampleur en France depuis plusieurs semaines.
Geoffroy Van Der Hasselt/AFP
La concomitance de la révision constitutionnelle et du mouvement des gilets jaunes est une occasion unique d’expérimenter plus de démocratie directe et de rétablir la confiance avec les citoyens.