À Dakar, les inondations se font plus en plus fréquentes depuis 20 ans. Parmi les facteurs susceptibles d’expliquer ces inondations récurrentes, l’urbanisation joue un rôle majeur.
Ces méthodes précieuses pour adapter la gestion côtière au changement climatique souffrent encore d’un manque de connaissances et de financements qui freinent leur déploiement.
Les digues, brise-lames et autres ouvrages en dur n’ont rien d’une panacée. Les solutions fondées sur la nature aussi ont de sérieux atouts pour l’adaptation du littoral français au climat.
Les plates-formes de glace du Groenland agissent comme des « barrages » qui régulent la quantité de glace déversée dans l’océan. Leur disparition va accélérer le rythme de la montée des eaux.
Combiné à la montée du niveau de la mer, ce phénomène qu’on appelle subsidence peut avoir des conséquences dramatiques mais reste trop peu étudié dans la région.
Sécheresse en Europe, fonte des glaces, retardement de la mousson indienne, canicule océanique et réchauffement climatique. Tous ces phénomènes s’auto-alimentent.
Très vulnérables, les côtes africaines se dotent peu à peu de caméras qui contribuent à constituer une base de données utile à la prévention des risques.
Géraldine Giraudeau, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
La création d’une réplique du petit État insulaire du Pacifique dans le métavers soulève de nombreuses questions juridiques sur les « États virtuels ».
Avec des tempêtes plus fréquentes et plus dures, l’adaptation au changement climatique passe aussi par la construction de structures résistantes à la pression des vagues.
La hausse des températures et les phénomènes météorologiques extrêmes constitue une menace existentielle pour de nombreux sites du patrimoine mondial de l'UNESCO.
Pour déterminer si l’érosion côtière s’accélère sous l’effet des conditions climatiques, il est nécessaire d’utiliser des périodes longues pour dégager de grandes tendances.
Jacob Stolle, Institut national de la recherche scientifique (INRS) and Damien Pham-Van-Bang, Institut national de la recherche scientifique (INRS)
Les côtes du Saint-Laurent, qui ont une importance économique, sociétale et culturelle considérable, s’érodent. L’adaptation des gouvernements et des communautés locales est nécessaire et inévitable.