Légende Dans les maladies d’Alzheimer, de Parkinson ou dans d’autres maladies neurodégénératives, les protéines qui s’agrègent dans le cerveau sont appelées « prion-like » car elles peuvent se comporter comme des prions.
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Une étude révèle que des patients traités à l’hormone de croissance ont développé une forme précoce de la maladie d’Alzheimer 40 ans après. On fait le point sur les protéines de type prion en cause.
Les levures Saccharomyces cerevisiae, ici en cours de division, sont capables de transmettre ou non des éléments de leur mémoire à leur descendance selon la présence de barrière empêchant leur diffusion (en vert, la septine est impliquée dans la constitution de ces barrières).
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Les cellules ont de la mémoire… qui pourrait reposer sur des protéines particulières : les « mnemons ». Ce mécanisme, identifié chez la levure, pourrait expliquer des maladies neurodégénératives.
Une nouvelle maladie inquiétante frappe les dromadaires algériens. Le vecteur est un prion, comme celui qui a touché les vaches folles et tout récemment les élans et rennes en Europe du Nord.
Le renne norvégien, première espèce de cervidés victime d'une maladie à prion en Europe.
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Rappelant la douloureuse crise de la vache folle, une nouvelle maladie à prion détectée chez les cervidés en Europe du Nord fait craindre une épidémie, questionnant aussi une possible transmission à l’humain.
La maladie d'Alzheimer est en augmentation.
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Le vieillissement est le principal facteur de risque de la maladie d’Alzheimer. Mais des recherches récentes suggèrent que la maladie pourrait aussi parfois se transmettre entre individus.
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)