Obtenir la confiance d’une banque après un échec entrepreneurial n’est peut-être pas facile, mais ce n’est pas impossible. Pour cela, mieux vaut jouer la carte de l’honnêteté et travailler son récit.
Une étude menée en Allemagne montre qu’un partage équitable peut nuire à la performance financière de l’entreprise tout en présentant d’autres avantages.
Une étude récente montre que ceux qui se lancent dans une aventure entrepreneuriale en fin de carrière apportent des innovations plus radicales (et plus rémunératrices).
Alors que l’étape d’étude de marché est régulièrement décriée comme inutile et inadaptée, il convient de rappeler pourquoi elle reste absolument essentielle pour la réussite du parcours de création.
Même après son départ, le fondateur fait toujours sentir sa présence. Mais celle-ci doit-elle rester un spectre discret ou bien devenir un fantôme que l’on invoque ?
Offrir aux chômeurs une assurance contre l’échec constitue un outil puissant pour favoriser l’entrepreneuriat et, par conséquent, la création d’emplois.
Depuis sa définition en 2001, le modèle décrivant la création d’activité sans objectif clair est désormais reconnu en entrepreneuriat et s’est même étendu à l’entreprise et à la société.
La faiblesse de l’activité économique et la hausse du coût du crédit ont découragé certains entrepreneurs dans leur projet, ce qui a pesé sur l’emploi et la productivité au niveau macroéconomique.
Porter un projet, ce n’est pas seulement maîtriser les outils et la méthodologie, c’est faire face aux montagnes russes opérationnelles et émotionnelles indissociables de la démarche entrepreneuriale.
Les créateurs d’entreprises anticipent mieux les éventuelles difficultés, en particulier financières. La logique d’indépendance derrière leur projet les pousse en effet à se préparer davantage.