À Namur, en Belgique, des fouilles archéologiques ont failli être enterrées sous couvert de confinement. L’épisode illustre la fragilité du système de protection du patrimoine archéologique.
À mesure que l’épidémie connaît une « grande accélération » en écho à celle du changement climatique, il nous faut intégrer la notion de « care » dans nos interdépendances.
Trois vidéos de phénomènes aérospatiaux non identifiés ont été rendues publiques par les autorités américaines. Voici l’éclairage du GEIPAN, la structure française en charge d’étudier ces événements.
Certains auteurs nous ont livré en leur temps leur vision des épisodes tragiques que sont les grandes épidémies. Quelles leçons devrions-nous en tirer ?
Depuis l’arrivée au pouvoir de Fidel Castro en 1959, Cuba a vigoureusement investi dans son système médical, au point d’envoyer aujourd’hui des médecins dans de nombreux pays du monde.
Comme le montre l’exemple de l’URSS, et contrairement à la vulgate collapsologique, les sociétés peuvent parfaitement s’effondrer pour des raisons internes et non externes.
La « grippe asiatique » de 1957-1958 et la « grippe de Hongkong » de 1968-1969 ont été largement effacées de nos mémoires. Pourtant, leur étude est très utile au vu de l’actuelle pandémie de Covid-19.
Espaces clos et limités, difficiles d’accès et isolés du continent, les territoires insulaires interrogent la notion relative du confinement et au-delà du vivre ensemble.
« La Vie de Brian » est une parfaite introduction à la façon dont une parodie apparemment irrévérencieuse sur Jésus peut offrir des perspectives historiques plus solides que des films plus sérieux.
Les eurosceptiques critiquent la réaction de l’UE à la crise sanitaire et c’est bien normal, ils sont dans leur rôle ; mais pourquoi tant de pro-Européens leur emboîtent-ils le pas ?
Alexis Troude, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay
Candidate à l’UE depuis des années, la Serbie estime ne pas avoir suffisamment été aidée par Bruxelles lors de la crise sanitaire actuelle et se tourne vers la Chine.
Les sans-abri et les populations fragiles sont plus vulnérables face à la pandémie. Les grandes crises du passé permettent de prendre la mesure de cette vulnérabilité et d’observer les réponses apportées.
Certaines valeurs de la modernité sont profondément remises en question, avec le retour de structures de pensée que l’on croyait révolues depuis l’époque médiévale.
Retour sur quelques grands combats menés par l’OMS dans son histoire, et sur l’instrumentalisation politique et financière dont elle a souvent fait l’objet.
Les barrières sont utiles si elles sont correctement pensées, et si elles servent à donner du temps, parallèlement, pour construire une réponse mieux adaptée.
Chercheur au Centre d’histoire culturelle des sociétés contemporaines, Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines (UVSQ) – Université Paris-Saclay