À l’heure de la sixième extinction de masse, Philippe Grandcolas nous engage, dans son ouvrage « Le sourire du pangolin », à mieux connaître et comprendre la diversité du vivant.
Sophie Lumineau, Université de Rennes 1 - Université de Rennes
Selon les sons qu’ils ont entendus dans l’œuf (cri naturel de prédateur ou son métallique d’origine humaine), les jeunes cailles montrent des différences de comportement.
Réduire les pesticides et les gaz à effet de serre, développer l’offre bio et une alimentation saine, soutenir les revenus et carrières des agriculteurs et agricultrices, les défis sont nombreux.
La fièvre jaune ne touche pas que les humains : elle tue aussi les singes. L’épidémie qui a sévi au Brésil entre 2016 et 2018 a décimé 80 % d’une population de singes titis, déjà considérés en danger.
Chez les humains, il existe un lien entre le développement du langage et les capacités cognitives. L'étude du même processus chez le chien permet de déterminer ses capacités au stade de chiot.
Il n’est pas toujours évident de faire discuter les associations de défense des animaux et les scientifiques pratiquant des expérimentations animales. Tentons de les faire communiquer.
Si vous aimez visionner ou partager des contenus mettant en vedette des animaux, vous n’êtes pas seul – vous faites partie d’un phénomène culturel plus large appelé l’économie du « cute ».
Début 2022, un homme s’est fait transplanter un cœur de cochon. L’opération est un succès mais pose de sérieux problèmes éthiques. Doit-on sacrifier des animaux pour sauver des humains ?
Après deux ans de pandémie ayant paralysé les stations de sports d’hiver, la nature a repris ses droits dans les vallées. Et les loups y chassent le mouflon en hiver.
Nicolas Dubos, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN)
Si les espèces sont et seront affectées partout par le changement climatique, celles qui vivent déjà sous un climat chaud atteindront plus vite leur seuil de tolérance.
Si la réglementation applicable aux élevages bio n’est pas optimale, elle garantit toutefois des conditions de « mieux-être » au regard des pratiques instaurées dans les élevages conventionnels.
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)
Professeur de psychologie sociale, membre honoraire de l’Institut universitaire de France (IUF), directeur de la MSH Alpes (CNRS/UGA), Université Grenoble Alpes (UGA)
Directeur de recherche CNRS, systématicien, directeur de l’Institut de systématique, évolution, biodiversité (ISYEB), Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Directrice, Direction de la Recherche et des Etudes Doctorales (DRED), Université Paris Nanterre, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières