Une consommation élevée de viandes hautement transformées peut simplement être représentative d’un mode de vie moins sain dans l’ensemble, ce qui augmente les risques d’Alzheimer.
Connue officiellement depuis 115 ans, il n'y a toujours pas de traitement contre l'Alzheimer. Le cerveau humain est extrêmement complexe, et la maladie d'Alzheimer est sa maladie la plus complexe.
Le consentement libre et éclairé est un pilier de l’éthique médicale. Mais comment faire pour l’obtenir lorsque les capacités cognitives des patients sont altérées ?
L’isolement social que connaissent les personnes âgées qui tentent de se protéger contre la pandémie de coronavirus fait naître de nouveaux risques pour la santé mentale.
Au-delà des peurs qu’il suscite, l’oubli est une force sans laquelle il nous est impossible de vivre dans le présent. Digérer le passé est essentiel à l’équilibre psychique.
Il n’y a pas une, mais des mémoires. Et si certaines sont très affectées par le vieillissement, d’autres peuvent au contraire constituer des outils pour lutter contre des pathologies comme Alzheimer.
Les souvenirs sont reconstitués dans notre cerveau grâce à un échange fascinant entre l'hippocampe et le néocortex. Une meilleure compréhension de ce phénomène pourrait aider à traiter la démence.
Des centaines d’essais cliniques ont été menés depuis 10 ans pour trouver un traitement contre l’Alzheimer. Ils ont tous échoué. La prévention reste le meilleur moyen connu pour combattre la maladie.
La maladie d'Alzheimer frappe de nombreuses personnes âgées de moins de 60 ans. La version «plus jeune» de la maladie est souvent diagnostiquée à tort comme une dépression ou une crise de milieu de vie.
Le vieillissement est le principal facteur de risque de la maladie d’Alzheimer. Mais des recherches récentes suggèrent que la maladie pourrait aussi parfois se transmettre entre individus.
Boire du café a des impacts sur nos capacités cognitives. La caféine est la responsable de ces effets. Des dérivés chimiques pourraient même servir de médicaments contre la maladie d’Alzeihmer.
Retour historique de la rencontre entre la patiente Auguste Deter et le médecin Aloïs Alzheimer qui décrivit et laissa son nom à cette célèbre maladie.
Une étude importante révèle la présence de virus de l'herpès dans le cerveau des malades d'Alzheimer. Une possible origine de la maladie est investiguée.
Plusieurs études solides montrent que les différentes formes de démences chez les personnes âgées sont sur le déclin. La hausse du niveau d’éducation pourrait en être l’explication.
Il est possible de prendre de l'âge sans avoir des problèmes de dépendance ou des troubles cognitifs. Lire, marcher, voir du monde ou jouer aux échecs sont autant de manière de les prévenir.
En cas de troubles de mémoire, on peut demander un diagnostic pour la maladie d’Alzheimer. Mais en l’absence de traitement efficace, il est essentiel de bien peser, avant, le pour et le contre.
Le Projet européen du cerveau humain vise à réaliser un simulateur de cet organe pour 2024. Avec la promesse de réussir à comprendre et guérir les maladies neurodégénératives. Faut-il y croire ?
Psychiatre du sujet âgé, chercheur associé au Laboratoire interdisciplinaire d'étude du politique Hannah Arendt (Université Paris-Est Créteil), co-directeur du département de recherche Éthique biomédicale du Collège des Bernardins, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC)
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université (AMU)
Chef de service à l'hôpital gériatrique universitaire Charles Foix (Ivry-sur-Seine) - Professeur de gériatrie à la Faculté de Médecine Sorbonne (Paris), AP-HP
Associate lecturer, Masters of Digital Media Program, and Senior Scholar in the field of Aging and Technology, Ted Rogers School of Management, Toronto Metropolitan University