Des maladies touchant les animaux peuvent se transmettre aux humains. C’est le cas de pathologies portées par des parasites. Plus nous perturbons l’environnement plus des cas peuvent se produire.
Un exemple de modélisation pour évaluer la biodiversité.
Université de Sherbrooke
En diabolisant les animaux pour dénoncer les violences dont 90 % des femmes sont victimes dans les transports, la RATP recycle un stéréotype éculé et risque l’inefficacité.
Les orangs-outans ont le taux de reproduction le plus lent parmi les mammifères avec, en moyenne, un petit par femelle tous les huit ans.
Hutan-Kocp/Kapar
Si pour une majorité de gens, la disparition des orangs-outans est essentiellement imputable au développement de l’huile de palme, les faits montrent que la chasse constitue la première menace.
Violaine Nicolas Colin, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) – Sorbonne Universités
Il n’est pas si fréquent que l’on découvre une nouvelle espèce de mammifère en France : voici Talpa aquitania, la taupe aquitaine, qui se plaît au sud et à l’ouest de l’Hexagone.
« Le quartier de viande », de Claude Monet, vers 1864.
Wikipedia
Un projet écologique autour de la conservation des chouettes orfraies a permis de rassembler autour d’une même table Israéliens, Jordaniens et Palestiniens. Un pas de plus vers la paix ?
Le 26 janvier 2018, lors des funérailles de Paul Bocuse, les chefs se rassemblaient devant la cathédrale Saint-Jean, à Lyon.
Jean-Philippe Ksiazek/AFP
La disparition du grand chef augure peut-être d’une autre disparition : celle de l’alimentation carnée.
Un Mautodontha de Tahiti. Les invertébrés sont les grands absents des évaluations de la crise d’extinction qui affecte la biodiversité.
Benoît Fontaine/MNHN
Benoît Fontaine, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) – Sorbonne Universités; Amaury Lambert, Sorbonne Université; Colin Fontaine, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) – Sorbonne Universités et Guillaume Achaz, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) – Sorbonne Universités
Si la période d’extinction de masse du vivant que nous connaissons est bien documentée pour les vertébrés, de nombreuses espèces invertébrées échappent aux évaluations.
Hélène Combrisson, Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm)
Les partisans et opposants de l’expérimentation animale s’affrontent durement. Retour sur les arguments des uns et des autres, les aspects juridiques et la reconnaissance des droits des animaux.
Mésange charbonnière mangeant à la main.
Paweł Kuźniar/Wikimedia
Charles Perrier, Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et Anne Charmantier, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Les oiseaux sont aussi des bêtes urbaines, façonnés par leur habitat. Démonstration de l’effet de l’urbanisation sur les gènes des mésanges charbonnières.
Des tigres du cirque italien Bellucci, en avril 2016 à Pristina au Kosovo.
Armend Nimani/AFP
Un tigre échappé d’un cirque a été abattu à Paris ce vendredi 24 novembre. Un fait divers qui repose la question de l’existence des cirques avec animaux.
Se passer de viande, voire de tout produit issu d'un animal, est une tendance forte actuellement. Que dit la science à propos de ces nouveaux régimes ?
Surmulot du bois de Vincennes.
Jean-Jacques Boujot/Flickr
Christiane Denys, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) – Sorbonne Universités
On l’accuse d’« envahir » les villes et de répandre les maladies, mais que sait‑on au juste de Rattus norvegicus ?
L’Observatoire Shidare du mont Rokko à Kobe (Japon), un exemple d’architecture biomimétique avec sa structure inspirée des végétaux.
Masahiko Ohkubo/Flickr
La nature est bien faite ! En l’étudiant avec humilité et curiosité, on peut y trouver une infinité de solutions pour imaginer et mettre au point des innovations respectueuses des écosystèmes.
Un chat dont le corps se comporte comme un liquide.
John Benson/Flickr
Philippe Grandcolas, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) – Sorbonne Universités et Roseli Pellens, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) – Sorbonne Universités
La disparition rapide et massive de nombreuses espèces terrestres doit alerter autant que les effets du changement climatique… d’autant plus que ces deux processus sont intimement liés.
Un orthoptère dans des champignons corticoles (qui vivent sur les écorces d’arbre) en Guyane.
Romain Garrouste
Romain Garrouste, Muséum national d’histoire naturelle (MNHN) – Sorbonne Universités
Mollusques, milles‑pattes, araignées, insectes… les invertébrés connaissent ces dernières années, tout autant que les vertébrés, un inquiétant recul de leurs populations.
Jeune chercheur ATER terminant une thèse en neurosciences à Aix-Marseille Université, au sein du Laboratoire de Neurosciences Cognitives, de l’Institut de Neurosciences des Systèmes et de l’Institut des Sciences du Mouvement, Aix-Marseille Université