Les plages de Normandie, le camp d'Auschwitz, Tchernobyl ou Fukushima sont des destinations pour le «tourisme noir», soit la visite de lieux marqués par la mort et la destruction.
Trente-cinq ans après l’accident, Tchernobyl abrite une faune et une flore diversifiées, passant du statut de désert pour la vie à celui de zone d’intérêt pour la conservation de la faune.
Le passage de l’ouragan Andrew, en 1992, et les enseignements tirés de la tragédie de Fukushima ont changé la manière dont les centrales nucléaires font face aux phénomènes cycloniques.
Thomas Reverdy, Institut polytechnique de Grenoble (Grenoble INP) and Frédéric Marty, Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
Le débat public ouvert jusqu’au 30 juin 2018 sur la politique énergétique française pour les prochaines années est l’occasion d’interroger le prolongement des centrales nucléaires et son coût.
Les accidents de Three Mile Island, Tchernobyl et Fukushima ont montré la difficulté de gérer un accident nucléaire. Quelle est la situation en France ?
Dans les flux migratoires de la planète, ils ne sont qu’un goutte d’eau. Mais les centaines de milliers de personnes évacuées et relogées après Tchernobyl occupent une place singulière.
Quels sont les effets à long terme des accidents nucléaires sur la biodiversité ? Des travaux menés en Ukraine et au Japon détaillent les dommages causés aux mammifères, oiseaux et insectes.
Quelles ont été les conséquences de Tchernobyl pour la santé des populations, et tout d’abord, celles exposées aux radiations ? Le sujet fait débat mais voici ce que l’on peut en dire aujourd’hui.
S’ils ont éveillé les consciences aux dangers du nucléaire, les accidents de Tchernobyl et plus récemment de Fukushima n’ont en rien stoppé le développement de cette source d’énergie.
Dans les années 1970, la France s’engage radicalement dans la voie du nucléaire. Quatre décennies plus tard, la situation financière d’EDF inquiète et les problèmes de la filière s’accumulent.
Robin Lacassin, Institut de physique du globe de Paris (IPGP)
Non, les deux séismes au Japon et en Équateur ne sont pas liés. Les distances entre les deux évènements sont trop importantes. Explication des phénomènes en cause.
TEPCO, l’exploitant de la centrale nucléaire de Fukushima, n’a jamais été assuré contre le risque de tsunami. Cinq ans après la tragédie, les demandes d’indemnisations s’accumulent.
Sangliers, cerfs, loups et élans on été repérés en grand nombre dans la « zone d’exclusion », ces quelques 4750 km² qui environnent l'ancien site de la centrale nucléaire.
Assistant Professor of Arab Crossroads Studies and Anthropology , NYU Abu Dhabi, chercheuse associée LESC, Université Paris Nanterre – Université Paris Lumières